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L’art au profit de Victor-Gadbois
ÉTATS-UNIS »Un tableau au lieu d’un coup de pinceau »
Le journal de Montréal Les agents immobiliers américains ont de plus en plus recours à des oeuvres d’art pour faciliter la vente de maisons. États-Unis Washington | (AFP Surtout sur la côte ouest des États-Unis mais aussi à New York, la «mise en scène» et la décoration (staging) des maisons à vendre est devenue très en vogue, avec la location, de plus en plus fréquente, de tableaux d’artistes.Ils sont là pour embellir les lieux mais ne sont pas des cadeaux. Et ça marche, assure Jan Sewell, agent immobilier à Seattle (nord-ouest) et spécialiste de la décoration de maisons à vendre. «Combien de fois une maison restait sur le marché invendue et une fois que nous l’avions redécorée, nous recevions de multiples offres d’achat», explique-t-elle. LOCATION D’OEUVRE D’ART Cette amatrice d’art travaille notamment avec la galerie de vente et de location de tableaux du Seattle Museum of Art. La galerie fait 20% de son million de dollars de chiffre d’affaires en louant aux agents immobiliers la production d’artistes contemporains locaux, a indiqué une de ses responsables, Jodi Bento. Selon Jan Sewell, qui a en location une centaine d’oeuvres d’art actuellement en circulation sur les murs des maisons à vendre, la peinture d’un artiste va agir «au niveau subliminal et inconscient» et aider l’acheteur «à tomber amoureux de la maisons». «Les gens pensent qu’on doit être rationnel lorsqu’on achète une maison, mais on ne l’est jamais». plaisante-t-elle. Même constatation pour Angela Di Bello, directrice de l’Agora Gallery à New York qui loue des tableaux aux agents immobiliers. EXITER LA PASSION «Lorsque vous entrez dans une pièce où il y a de l’art, l’espace se personnalise. Cela instille une sorte de passion et d’excitation dans l’esprit du visiteur», assure-t-elle. Cela aide «à faire que les gens se sentent bien», affirme-t-elle. «Et lorsqu’ils se sentent bien, les gens disent oui. Quand ce n’est pas le cas, ils deviennent négatifs et disent non». Il faut toutefois «trouver un équilibre et garder à l’esprit que le but principal est de vendre la maison», rapelle Jan Sewell. «On doit éviter que l’acheteur potentiel ne tombe trop sous le charme de l’oeuvre», car il arrive, ce n’est pas si rare, que le visiteur reparte avec la peinture plutôt que la maison. |
LA PRESSE DE LA MANCHE, 11 avril 2006
LA PRESSE DE LA MANCHE Parution mardi 11 avril 2006 Louis LEFEVRE Rencontre avec un artiste Vendredi soir, Charles Carson était dans les murs des Couleurs du temps, à Tourlaville, pour y faire encadrer quelques-unes de ses œuvres. Peintre de renommée internationale au talent connu et reconnu, ce Canadien est actuellement de passage dans notre région. |
C’est par le hasard d’un simple coup de fil qu’il nous a été donné d’aller à la rencontre d’un immense artiste. Tellement immense que du côté de Carthagène, en Colombie, il a été statufié par le biais d’un bronze grandeur nature de 700kg. Une bien belle reconnaissance et un bien bel hommage pour cet artiste canadien qui a collaboré au renouveau de la culture colombienne. |
L’intérêt est ailleurs. Dans l’œuvre de cet artiste né à Montréal un jour de 1957. « Carson est considéré par la critique comme l’un des plus grands peintres contemporains actuels », nous a confié son agent exclusif pour la France, qui a accueilli l’artiste pour quelque temps dans sa maison du côté de Bricquebec. « Je ne voulais pas avoir un style mais une écriture », explique Charles Carson. L’écriture en forme de déstructuration du dessin est tellement réussie que les historiens de l’art n’hésitent pas à parler de « carsonisme ». Tout cela dans un savant amalgame de couleurs qui interfèrent les unes dans les autres en gardant malgré tout une impressionnante luminosité. « Comme tous les gamins, on s’amuse et on peint. Après j’ai essayé de rechercher quelque chose de nouveau », explique, en s’excusant presque, Charles Carson. |
« Ici, les bords de mer sont magnifiques » Dans le carsonisme, il est question de diagonales, d’exploitation de la nature, d’équilibre des masses, de transposition des couleurs mais également « d’éclipses de blanc qui donnent plus de profondeurs aux tableaux ». Et la nature, elle est précisément partout dans les œuvres de Charles Carson. Les orchidées, les oiseaux, les poissons au fond de leurs océans font comme une farandole de couleurs. « Devant un tableau de Carson, on ne peut être que surpris puis, lentement, doucement, sans heurt, on le pénètre, on le découvre et l’étonnement du début fait progressivement place au ravissement. » Tout simplement, et c’est là le génie de l’artiste, parce que les œuvres attirent au premier coup d’œil le spectateur, tout en gardant leur « contenu profond » pour un deuxième regard. Quelle que soit la technique, quel que soit le sujet, l’imaginaire et le génie de Charles Carson donnent à chaque fois une œuvre majeure. Il suffit d’ailleurs de regarder son travail dans les techniques de mosaïque pour s’en convaincre. Y transparaissent des effets vitraux avec une telle limpidité des couleurs que l’on en viendrait à penser que ce n’est pas de la peinture. Et pourtant ! Quotidien d’information départemental, |
Que sera demain ?
Que sera demain ??? Si les poissons pouvaient pleurer, ils rempliraient les océans de larmes ! La Terre est une planète rare et peut-être unique dans l’univers car elle offre le privilège de porter la vie. Malheureusement tout le monde n’a pas conscience de la précarité de son existence. |
Devant l’augmentation des accidents maritimes, du manque de scrupules des armateurs comme des industriels polluant la mer sans vergogne, des associations telles que Greenpeace ainsi que des fondations se sont mobilisées pour sensibiliser le monde politique et la population sur l’état de santé de la mer. Devant le laisser-aller général et le laxisme des autorités chargées de la protection de l’environnement notamment, nous sommes arrivés à une époque critique où nous devons trouver des moyens radicaux pour protéger la mer de la convoitise et de l’insouciance des hommes. |
Ce que dit la loi |
Le 7 novembre 1996 les signataires de la Convention de Londres ont ajouté un protocole à leur convention imposant dorénavant que l’immersion des déchets en mer devait respecter le principe de précaution et celui de « pollueur-payeur ». La définition de la « mer » a également été amendée qui, jusqu’alors limitée aux eaux marines, est élargie et englobe désormais le sol et le sous-sol. Malheureusement… ce protocole n’est toujours pas ratifié par toutes les parties ! |
En effet, nous savons bien qu’en période estivale, avec les centaines de milliers de touristes qui se rassemblent dans nos villes côtières, la baignade est parfois interdite le long de nos rivages suite à la prolifération des microbes ou la pollution d’un estuaire. Dans quelques années ces installations devront être agrandies ou dédoublées pour contenir le flôt toujours plus important d’eaux usées. Mais ceci ne représente que la partie visible de l’iceberg. Car sous l’iceberg se cache une autre pollution. Suite voir : http://www.astrosurf.com/luxorion/mer-depotoir-refuge.htm |
Journal La Vallée
Parution: Journal La Vallée Quebecor Media 20 ième année, no 3- Vendredi, 20 janvier 2006 Arts et Spectacle Par: Ghuilaine Néron De réputation internationale, le peintre Charles Carson s’établie dans la région En plus d’avoir récolté plusieurs prix à l’échelle internationale en 2005, d’être médaillé d’or au Salon internationale des Beaux Arts à Montréal, le peintre montréalais Charles Carson est devenue membre officiel de l’Académie Européenne des Arts-France. Celui que l’on nomme le créateur du carsonisme s’est récemment établie dans nos belles laurentides. «Le carsonisme, c,est une technique qui joue avec la transparence, la limpidité et la juxtaposition des couleurs» m’explique M. Carson en entrevue téléphonique. Il est le seul à l’utiliser puisque lorsqu’il enseigne, il essaie plutôt de faire sortir ce qu’il y a en chaque peintre plutôt que de «créer de petits Carsonistes» comme il dit. Comme on n’est pas souvent reconnu dans son pays, et en même temps pour se renouveler, le coloriste s’est dirigé vers de nouveaux horizons. Il a donc vécu en Amérique du Sud et en 1997, pour souligner son apport à la culture colombienne, la Société aéroportuaire lui a rendu hommage en érigeant une statue de bronze grandeur nature à son éffigie dans la ville de Carthagène. Carson est aussi l’auteur d’une immense murale qui orne le hall de l’aéroport principal de cette ville ainsi que d’une murale de scène religieuse qu’on retrouve à l’église Santo Domingo, un monument classé patrimoine mondial. Les tableaux de Charles Carson sont très attrayants. Des semi-figuratifs, des paysages, des animaux, aux couleurs éclatantes, tout ce qui se rapporte à la nature où il puise son inspiration. De retour au Québec en 2000, il a étudié l’art abstrait et a créé un nouveau genre de mosaïsme. On l’a alors classé dans la catégirie des artistes de la trempe de Jean Paul Riopelle. |
«L’art de peindre est d’oublier la matière, cette dernière n’existe pas…elle n’est plus qu’ombres, lumières et couleurs aux reflets multiples» exprime l’artiste. Dans quelques jours, le réputé peintre s’envolera pour l’Europe pour y séjourner pendant quatre mois. «Quand je suis en manque d’émotions, je recherche des endroits qui vont m’inspirer. La nature et les châteaux de la Normandie me font beaucoup vibrer» a exprimé Charles Carson. En attendant qu’il nous revienne, vous pouvez voir ses oeuvres à la Galerie Richelieu sur St-Denis à Montréal ou visiter son site Internet à www.charlescarson.com |
GUIDE DE ROUSSAN 2006
Guide de Roussan, Édition 2006 CARSON CHARLES, Référence page 27 et 53 Charles Carson, Né en 1957 à Montréal. Gagnant de plusieurs prix et mentions à l’échelle nationale et internationale. Il est le créateur d’une fascinante forme d’écriture picturale surnommée par plusieurs historiens en art de «carsonisme». Artiste de réputation internationale il obtient en 2002 la plus haute distinction du Salon International des Beaux-Arts de Montréal. De plus il a reçu la mention d’honneur lors des MIM d’or 2003 au Palais des congrès de Montréal. En 2005, il devient membre officiel de A.E.A.F. et de A.I.B.A.Q. EN GALERIE DEPUIS 1985 COTE 2006 Technique »CARSONISME » acrylique sur toile 14 po X 18 po. 5500 $ Galeries Galerie d’art Richelieu inc |
DICTIONNAIRE DROUOT COTATION 2006, PARIS
DICTIONNAIRE DROUOT COTATION 2006, PARIS Christian Sorriano, Expert et Président de l’association Drouot Cotation Paris. Il fut chargé par le gouvernement français, du 1 er décembre 1992 au 1 er décembre 1995, de « structurer les professions de l’Art et des Antiquités». Drouot Cotation 13, rue Drouot, 75009 Paris Dictionnaire Drouot Cotation des Artistes Modernes et Contemporains à nos jours. Diffusion et distribution par la prestigieuse et historique maison Larousse. CARSON Charles né en 1957 38 500 € Chant floral acrylique 122×122 cm Paris 2005 |
Marché des oeuvres d’art Belle croissance…
Parution : Journal de Montréal, page 76 Marché des oeuvres d’art Belle croissance des achats PC) La somme consacrée à l’achat d’oeuvres d’art les institutions muséales, les entreprises et les autres institutions collectionneuses a augmenté de 67% en 2003-2004 par rapport à l’année précédente. C’est ce qu’a révélé hier l’Observatoire de la culture et des communications du Québec (OCCQ) de l’institut de la statistique du Québec, précisant qu’«en fait, après un creux en 2002-2003, les achats d’oeuvres d’art retrouvent leur niveau de 2001-2002 et le dépassent légèrement». Éventail L’enquête de l’observatoire pour la période 2003-2004 a porté sur les acquisitions d’oeuvres d’art de 143 établissements, soit une trentaine d’institutions muséales,une vingtaine d’entreprises propriétaires d’une collection, quatre municipalités d’importance ainsi que les établissements touchés par la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement- mieux connue sous le nom de politique dite «du 1%»- gérée par le ministère de la Culture et des Communications. En 2003-2004, ces 143 établissements ont acheté au total 1,259 oeuvres d’art pour une somme totale de 16,2M$. «Cette dépense représente, dans l’ensemble, une augmentation de 67% par rapport aux achats de l’année précédente, lesquels semblent avoir été relativement faibles, a précisé l’observatoire. En fait, après une baisse en 2002-2003, les achats d’art ont retrouvé grosso modo leur niveau de 2001-2002, qui était de 14,6 millions.» La plus grosse part des 16,2 millions dépensés en 2003-2004, soit 6,1 millions, est attribuable aux achats des entreprises collectionneuses et aux achats d’art public faits en vertu de la politique «du 1%» qui atteint 5,6M$. Quatre villes Les institutions muséales ont quant à elles acheté pour 3,1M$ d’oeuvres d’art et les quatre grandes villes intérrogées par l’observatoire, pour 1,4M$. L’agence de statistique a souligné que par rapport à l’année précédente, la somme des achats faits en vertu de la politique«du 1%» a augmenté de 30%, tandis que celle des achats des institutions muséales a progressé de 20%. L’étude a permis de constater que, parmi les acquisitions, les oeuvres créées par des artistes du Québec, au nombre de 1229, sont beaucoup plus nombreuses que les oeuvres d’artistes établis hors Québec, dont le nombre a été de 93. Proportion Néanmoins, la part de la somme totale des achats consacrée à des oeuvres créées par des artistes établis au Québec (60%) est plus faible que l’année précédente (81%) Les résultats de l’enquêterévèlent par ailleurs que près des deux tiers des 1259 oeuvres achetées par l’ensemble des établissements sondés sont des créations sur papier, mais que celles-ci ne représentent que 6,5% des dépenses totales. |
Parution : Journal Le Soleil Qc.
Parution : Journal Le Soleil Qc. Dimanche le 04 décembre 2005 Saviez-vous Que Le 28 novembre 2005, Grande Vente aux Enchères Publiques d’oeuvres d’art à Québec. Cette vente, qui fut un grand succès, a eu lieu au Capitole de Québec. Près de 200 personnes ont participé à l’évènement. Les acheteurs ont pu prendre connaissance des tableaux à vendre lors d’une exposition qui s’est déroulée avant la vente. Le commissaire priseur, a pu avec succès dirigé cette vente qui a connu d’excellents résultats. |
En effet, plusieurs tableaux ont connu un succès remarquable dont la peinture de Charles Carson, un peintre de renommée internationale, qui s’est vendu à 33 000 $ !!! Meilleurs ventes: Jean-René Richard, huile sur panneau, Francesco Iacurto, Huile sur toile Marcel Ferron, huile sur toile, |
Le journal des Pays d’en Haut
Le journal des Pays d’en Haut Mercredi 23 novembre 2005 Un peintre de renom emménage dans la région (C.A.) Après avoir fait le tour du monde à maintes reprises pour peindre et vendre ses tableaux à des personnalités aussi illustres que l’ancien président des Etats-Unis, Bill Clinton, voilà que le peintre montréalais Charles Carson, 48 ans, créateur d’une fascinante forme d’écriture picturale surnommée de « Carsonisme », vient de s’établir dans les laurentides. Bien qu’il soit considéré par la critique comme l’un des grands peintres contemporains de notre temps, qu’une statue de bronze grandeur nature à son effigie occupe une place de choix, depuis 1997, dans la ville de Carthagène en Colombie et que plusieurs experts en art le décrivent déjà comme <<un artiste du calibre de Riopelle, si ce n’est un artiste de calibre supérieur>>, M. Carson reste simple, discret et solitaire. <<Je ne suis pas du genre à courir après la publicité ou les honneurs>>, mentionne celui qui est la preuve vivante que nul n’est prophète en son pays. Curieusement, Charles Carson s’est d’abord fait connaître en Amérique du Sud où il a vécu et travailllé pendant plusieurs années. L’Artiste a d’ailleurs peint la murale monumentale intitulée El caballo de mar qui orne le hall de l’aéroport principal de Carthagène ainsi qu’une murale de scène religieuse pour l’Église de Santo Domingo, un monument qui est aujourd’hui classé comme patrimoine mondial. Et les arts au Québec? <<On dirait que pour être un peintre au Québec, il faut être pauvre. je crois qu’on ne valorise pas assez cette forme d’art. Dans certains pays que j’ai visités, on déroule le tapis rouge pour des artistes tels que moi. Jamais on ne verrait ça ici>>. dit-il. Ceux et celles qui seraient intéressés à voir ou acheter des toiles de l’artiste Charles Carson, dont certaines se vendent plus de 150,000 dollars, peuvent se rendre à la Galerie Relais des Époques, siruée au 234, rue Saint Paul Ouest dans le Vieux-Montréal, où ils retrouveront une cinquantaine de ses oeuvres. Ils peuvent aussi visiter son site Internet à www.charlescarson.com ou se rendre au Capitole de Québec, le 28 novembre prochain à 19h30, pour assister à une vente aux enchères de l’une de ses toiles. Charles Carson en pleine action |