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Jamie Ellin Forbes, historienne en art « Charles Carson a créé une école de pensée… » « Heroe of Creativity »

Jammie Ellin Forbes ok21 avril 2009

Jamie Ellin Forbes

Heroe of Creativity

Charles Carson a créé une école de pensée : Le Carsonisme. Carson est un nouvel isme. Il y a des éléments du travail de cet artiste que je n’ai jamais vu ailleurs. Pouvons-nous conclure à la création d’un processus personnel de la pensée ou de la naissance d’une école? Est-ce que quiconque avait fait Braque, Leger ou Pollock avant qu’ils se révèlent eux-mêmes? »

«L’application de la couleur crée un véritable rythme immédiatement perceptible. On ne peut absolument pas peindre et encore moins extrapoler, si on ne maîtrise pas parfaitement son sujet et la notion des critères artistiques élémentaires. Il faut savoir vraiment peindre pour extrapoler d’un geste assuré. Carson, pour sa part, rythme mélodieusement ses tableaux. Son sens inné de la couleur lui permet de donner l’illusion qu’elle transperce le support ; l’énergie qui s’en dégage lui confère un effet presque cinétique. Il crée des formes dynamiques qui se révèlent sous sa spatule.

J’ignore toujours ce qui se passe dans l’esprit de Charles Carson quand il crée, mais j’ai l’impression qu’il peint une vision subconsciente de son monde intérieur ; qu’il avance dans un espace onirique, un espace à la frontière de la réalité, l’espace du rêve, le monde de l’abstraction.

Ses couleurs sont impeccables, ce qui est rare, elles sont riches, structurées, définies et bien texturées. C’est une façon de faire très complexe et difficile à maîtriser, l’artiste doit posséder une parfaite compréhension de l’harmonie et du rythme pour atteindre l’équilibre significatif conduisant à la création d’une œuvre magistrale.

Charles Carson a créé une école de pensée : Le Carsonisme. Carson est un nouvel isme. Il y a des éléments du travail de cet artiste que je n’ai jamais vu ailleurs.

Pouvons-nous conclure à la création d’un processus personnel de la pensée ou de la naissance d’une école? Est-ce que quiconque avait fait Braque, Leger ou Pollock avant qu’ils se révèlent eux-mêmes? »

Source : Fine Art Magazine, New York, spring 2009

Boening Fine Arts, Deutschland – Charles Carson´s Werken liegen zwei Ansätze zugrunde.

Yves Boening - Fine Art - Carson

Boening Fine Art Gallery
President, Yves Boening

Boening Fine Arts, Deutschland Charles Carson wurde 1957 in Montreal, Kanada geboren. Als Teenager entdeckte er seine Begeisterung für das Malen. Nach einer ausgedehnten Weltreise, während welcher er Europa, Asien, die USA und Südamerika besuchte, hatte er seinen unvergleichlichen Stil gefunden. Charles Carson´s Werken liegen zwei Ansätze zugrunde. Zum Einen das « Mosaic“ und zum Anderen einem Stil, welcher von Kunstkritikern und Kunsthistorikern sogar als „Carsonismus“ bezeichnet wurde. Der Künstler ist international bekannt und hat eine vielzahl von Ausstellungen in vielen Ländern der Erde gehabt, wie den USA, Kanada, Europa, England, Kolumbien, den Philipinen und Hong Kong. Während seines 10 Jährigen Aufenthaltes in Cartagena, Kolumbien, hat Carson sich in der dortigen Kunstszene eingebracht, daraufhin wurden ihm zu ehren 1997 eine lebensgroße Bronzestatur von ihm in einem öffentlichen Gebäude aufgestellt. Daraufhin hat er ein großflächiges Wandgemälde für die Haupthalle des dortigen Flughafens, sowie ein weiteres Wandgemälde in der berühmten Santo Domingo Kirche geschaffen. Zu seinen Freunden zählt der Künstler Botero. Zu seinen Sammlern gehört unter Anderem auch Bill Clinton. http://www.boeningfinearts.com/carson.html Auszeichnungen und Ehrungen 2007 – Montreal, Kanada – ACADEMIA XXI – Eine Gala das Kunstmuseums Montreal, auf der Carson für die Qualität seiner Werke sowie seine bemerkenswerte künstlerische Karriere die Auszeichnung für besondere akademische Verdienste verliehen wurde. 2007 – Montreal, Kanada – ACADEMIA XXI – Eine Gala das Kunstmuseums Montreal, auf der Carson für dessen Bemühungen die Kunstakademie Montreals international vertrat, der Preis als Internationaler Kunstbotschafter verliehen wurde. 2007 ¬ Paris, Frankreich – Carson war Eherngast des «Salon international de l’Académie Européenne des Arts-France», von dem er in Würdigung seines Talentes die Goldmedaille als MASTER ACADEMICIAN verliehen bekam. 2007 – Normandie, Frankreich – Carson erhielt in Anerkennung seiner ungewöhnlichen Exzellenz, Qualität und Kreativität als Ehrengast die Verdienstmedaille der City of Sées, überreicht durch die Generalsekretärin Lydia Fayel und den Kultusminister Bernard Amiot verliehen. 2007 – Florenz, Italien – Carson wurde vom Internationalen Vorstand der ACCADEMIA INTERNAZIONALE «GRECI-MARINO» ITALY, Herrn Duca Degli Abruzzi, der Titel des MASTER ACADEMICIAN OF VERBANO für seine hohen Standards im Bereich der Kunst verliehen. 2007 – Florenz, Italien – Carson erhielt von der  »Galleria Centro Storico » einen  »Oscar della Cultura ». Er wurde dabei für sein bemerkenswerten Carsonismus ausgezeichnet. 2005 – Carson wurde Mitglied der europäischen Kunstakademie Frankreich ((AEAF)EUROPEAN ACADÉMIE OF THE ARTS-FRANCE) 2003 – Carson erhielt er die Internationale Goldene MIM Auszeichnung 2002 – Carson gewann die Goldemdaille des Rayonnement Universel Salon der schönen Künste in Montreal. 1999 – Carson erhielt eine Ehrenauszeichnung auf dem Medellin Kunst Festival in Kolumbien. 1995 – Carson ist Ehrengast auf dem Caribbean Arts Festival und gewinnt den ersten Preis. 1994 – Carson gewinnt den ersten Preis der „Commanderie de l’Ordre des Chevaliers de St Hubert“. 1993 – Carson gewinnt die Gold medaille des CIDIAQ (Centre international d’information et Diffusion des Arts in Quebec.)

Champlain Charest « Ce sont des tableaux très denses, très forts, répète-t-il, et qui prennent tout…» « C’est un homme assuré par le succès! »

Champlain Charest08 novembre 2008

Champlain Charest

Monsieur Champlain Charest, médecin, grand collectionneur de vins, amoureux collectionneur d’art, ayant fort bien connu Jean-Paul Riopelle, qui était dans le cercle des amis intimes et avec qui il partageait diverses passions dont celles de la pêche et de la chasse. Rappelons que le Bistro à Champlain situé à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson abrite plus de 35 000 bouteilles, et que c’est avec Riopelle, présent sur les murs, qu’il s’en était porté acquéreur avec Riopelle  en 1974. Les deux hommes s’étaient connus à Paris en 1968 et n’étaient pratiquement jamais éloignés l’un de l’autre longtemps.

Tant de passion anime cet homme! Et lorsqu’il choisit d’aimer, qu’il s’agisse d’un vin ou d’un artiste, il est entier. On l’imagine attablé avec Riopelle, refaisant le monde, parlant de chasse et d’art. Ses coups de cœur sont éclatants. Qui mieux que lui peut mettre en parallèle le talent des deux artistes, puisqu’il a fait la rencontre de l’œuvre de Carson depuis 2001. Et qu’il a été séduit.

Lorsqu’il est entré en contact avec l’artiste et ses tableaux, il a senti « une force, une grande force », dit-il.

« Pour moi, la technique mosaïque de Carson, évoque à première vue un peu les tableaux que Riopelle faisait dans les années 1950. Coups de spatule, progression du tableau vers un endroit bien précis. Il y a un sens au tableau, un endroit où le regard s’accroche, converge vers le centre de ce tableau-là, tel qu’on le retrouve chez les peintres abstraits : donc, pour moi, la lumière vient d’en arrière du tableau, passe au travers et se projette devant soi. »

Doit-on comparer les deux artistes et se contenter de ce regard rapide sur leurs œuvres et leur force? 

Dans l’œuvre de Carson, il y a une recherche multicolore qu’on ne retrouvait pas chez Riopelle, ce qui a mon avis lui donne tout son unicité; avec le rouge par exemple, ou le bleu, le tableau entier était presque tout rouge ou tout bleu. Ici, c’est la densité en transparence des différentes couleurs qui fait toute la différence d’avec Riopelle. C’est un véritable foisonnement.

Champlain Charest veut être plus précis : « Bien sûr, Riopelle utilisait des couleurs, mais l’ensemble du tableau montrait moins de ces coups de spatule, moins de juxtaposition de couleurs en transparence, son unicité c’est sa limpidité des couleurs dans chaque coup de spatule. Il faut une habileté extraordinaire pour arriver à ce résultat, selon moi.

Bien qu’il se défende d’être un expert du calibre d’un historien ou d’un critique d’art, il revient à son regard « coup de cœur » qui justifie tous ses investissements en art.

Non seulement il est habile dans la disposition des couleurs, mais ses tableaux me disent quelque chose. J’aime entre autres  l’équilibre des masses, la transparence en juxtaposition, sa recherche chromatique, la force évocatrice qui sens dégage  fait toute l’unicité de l’œuvre de Carson.

J’apprécie particulièrement ses œuvres carsonistes, une manière de peindre qui va aller très loin

Et il conclut, admiratif :  Ce sont des tableaux très denses, très forts, répète-t-il, et qui prennent tout.

Ça laisse les autres dans l’ombre, un petit peu 

C’est un homme assuré par le succès! »

SOURCE: L’art de Vivre, Américor média, « Carson sa Vie son Oeuvre, édition  2008

Auteur *Anne Richer, écrivaine et journaliste au quotidien « LA PRESSE » depuis 1968. Ces dernières années, elle a dressé le portrait de plus d’une centaine d’hommes et femmes, bâtisseurs et rassembleurs, leaders et héros de notre temps.

Charles Carson, de purs moments de couleur…

Alain Coudert, historien et expert en art. Chroniqueur régulier du mensuel Arts Actualités Magazine, France.

Analyse des oeuvres de Carson d’après Alain Coudert en 2007. Arts Actualités Magazine, France. Charles Carson De purs moments de couleur… Être collectionné par l’ancien président des États-Unis Bill Clinton et statufié par la Société Aéroportuaire de Carthagène, en Colombie, par le sculpteur Mario Rodriguez en reconnaissance de son travail, voilà deux satisfactions auxquelles beaucoup d’artistes n’osent même pas rêver. Charles Carson l’a fait. Médaillé d’or en Colombie, en France, en Italie, en Grèce et au Canada, ce peintre canadien expose en France depuis 1987. Carson revient une fois de plus sur le vieux continent, avec l’ambition de conquérir les collectionneurs d’art européens, ce qu’il réussit à merveille. Pour Charles Carson, la peinture est affaire de passion. C’est que l’homme a du caractère ! Taraudé par une créativité débordante, en autodidacte jamais satisfait, il trouve trop simpliste de peindre ce qu’il voit. « J’ai lutté pour trouver ma propre forme d’écriture picturale, explique-t-il. Je ne voulais ni ressembler à quelqu’un ni peindre à la manière de…»

Havre de paix haut en couleurs «carsonisme»

Difficile de peindre « autrement » à l’époque de la mondialisation qui uniformise tout, jusque dans les arts. Indispensable de le faire pour témoigner d’une époque versatile qui, comme disait Cocteau, « doit d’autant plus être admirée que tout y est éphémère » ? Difficile, mais possible pour Charles Carson… Chez lui la couleur, la couleur pure, prime. La palette est souvent, mais pas exclusivement car l’artiste n’est pas dogmatique, chaude, vive, enlevée, au service d’une énergie vitale affirmée. À la question centrale des années 90 que se sont posés nombre d’artistes contemporains, « Mais quoi peindre donc ? », Carson apporte une réponse de bon sens : tout, mais peindre. Qu’il s’agisse de natures mortes (terme mal venu pour lui et auquel il préfère « natures vivantes » ou le terme anglais « still life »), bouquets, paysages, poissons, fonds sous-marins originaux, poissons coralliens, animaux, scènes de genre… peindre est d’abord magnifier par des éclats de couleur ce que ressent l’artiste.

Saison florale du lac St-Jean «carsonisme»

Il peint beaucoup à l’inspiration. Le spectateur en ressent l’ardeur, ce souffle exigeant, surtout au contact de ses grands formats. Jouant sur la frontière semi-figurative / non figurative, Carson pose sa matière à la spatule, en transparence dans sa juxtaposition de couleurs, obliquement et par petites touches. Il complète ensuite son œuvre par un traitement en diagonale et en épaisseur des blancs, comme un effet ténu de neige. Ceci a pour effet de concentrer la lumière et d’accentuer les contrastes. Cette manière d’appréhender la peinture, permet à un œil un peu exercé de reconnaître immédiatement « la touche du maître». La technique est à présent reconnue comme celle du « carsonisme » et elle fait école. Pour d’autres œuvres, Charles Carson utilise des effets « mosaïques » en fragmentant par la couleur la surface de la toile et le sujet, à l’image des mosaïques. « Carsonisme » ou « effet mosaïque », ces deux approches ne sont pas de simples artifices de création.

Lumiere de l’éternel «mosaïque»

Quel intérêt y aurait-il à disserter sur la marque de plume ou d’ordinateur de l’écrivain, ou sur le numéro de pinceau du peintre ? On oublie la technique et on retient l’imaginaire. Carson travaille beaucoup la nuit, quand le calme règne sur l’atelier. « Comme cela je ne perds pas le fil de ce que je peins, dit-il. Je séjourne dans l’obscur pour travailler mes couleurs qui éclatent au jour. Peindre avec peu de lumière donne de la vibration à l’œuvre : la couleur ressort plus du tableau que de la pièce où je travaille. » Mais toute cette couleur au service de quoi ? Un regard sur le monde très personnel, un peu détaché du réel, une vision des choses qui, bien que singulière, tend à l’universalité. La peinture de Charles Carson émane forcément du monde. Sa force – sa différence aussi – est de transformer la vision que nous avons de ce monde, de nous ramener, en donnant à voir l’indistinct, aux choses essentielles, celles qui nous détachent du quotidien. Sa sculpture œuvre dans le même sens. Elle révèle une façon de faire complexe, originale et jusqu’à présent inexplorée par les artistes, en développant la technique du «carsonisme» sur une surface embossée. Mais là encore, qu’importe le sujet. La matière est généreuse, la couleur omniprésente, tout concourt à élargir notre regard et à mieux comprendre les subtilités et la complexité de notre environnement.

Émergences des profondeurs (sculpture)

Ce sentiment d’une œuvre « écologique » est renforcé par la démarche personnelle de Charles Carson qui, aussi souvent que faire se peut, ne se contente pas de déplacer les œuvres de son atelier d’une exposition à l’autre, mais crée directement, sur place, dans le pays d’accueil. « Saisir la vie, l’atmosphère, la lumière des régions, des pays où j’expose m’est indispensable. Je crée souvent plusieurs tableaux dans la ville où je présente une exposition, j’y réside parfois de 4 à 6 mois, pour ce faire, même si j’invente des fonds marins ou de pures abstractions. » La peinture ne représente jamais autre chose qu’un monde des possibles. Les peintres ne dépeignent jamais que leur époque par technique et matière interposées. Charles Carson nous rappelle que la nôtre, derrière la grisaille affichée comme une punition du temps, est un pur moment de couleur, au moins l’instant d’un regard sur le tableau. Alain Coudert est critique et historien d’art. Chroniqueur régulier du mensuel Arts Actualités Magazine depuis 1997, il a publié sous son nom « Ratafia » (Castor Poche Flammarion) et « Le Pilosio » (Belle journée en perspective). Coudert développe, explique et critique les œuvres des artistes tentant de leur trouver un sens. Ses écrits biographiques sur de nombreux artistes révèlent la qualité de son écoute et ses critiques témoignent de sa longue expérience. Elles nous révèlent, à chaque fois, une facette distincte d’un artiste et de son œuvre. Alain Coudert a, entre autres, collaboré par l’écriture avec des créateurs aussi différents que Hasan Saygin, Wojtek Siudmak, Alain Marie, Marc Clauzade, Michel Jouenne, Charles Carson… Passionné d’écriture, de tableaux, de photographie et de bons vins de France, cet épicurien est aussi féru d’histoire et de littérature. En Martinique, il collabore à R.F.O. Martinique de 1981 à 1987 sous l’égide de Jacques Césaire. Il y anime notamment les matinales, produit une série d’émissions radio sur l’histoire de la Martinique vue par ses témoins et tient une chronique littéraire quotidienne. À la télévision, il anime la première émission littéraire régulière de l’île. Depuis 1987, il met sa plume au service des autres. Alain Coudert SALERNES, France

Une peinture éclatante de force et de luminosité.

Louis Lefèvre, critique d'art, journal La Presse, France

Louis Lefèvre, critique d’art, journal La Presse, France

Louis Lefèvre, journaliste et critique d’art.

«Le Canada est une véritable pépinière de talents artistiques. Lorsque l’on évoque nos cousins d’outre Atlantique ou du Québec, on pense aux Garou, Céline Dion, Gilles Vigneault. Autant de noms qui évoquent autant de chansons à succès. Cependant le monde de la culture canadienne ne se résume pas à la musique. L’art c’est aussi la peinture. Et dans ce domaine, il en est un qui n’a rien à envier à tous ces chanteurs, car son talent est au diapason : le peintre Charles Carson.

Chez Charles Carson, sa partition à lui c’est une palette toute en nuances. Ses notes, il les joue et les chante avec ses pinceaux, dans un formidable feu d’artifice de couleurs toutes plus éclatantes les unes que les autres. Cela donne des tableaux qui ne laissent personne indifférent. Sans aucun doute c’est ce que l’on appelle le talent. Son œuvre, si elle n’est pas encore connue chez nous autant qu’elle le mérite, est déjà reconnue partout ailleurs. Au point que cette œuvre n’appartient plus tout a fait à l’artiste. En rejoignant dans la notoriété celle des plus grands peintres d’hier, elle entre dans le patrimoine universel d’aujourd’hui. Et prépare celui de demain.

Le peintre canadien Charles Carson se consacre entièrement à son art, depuis près de 30 ans. L’élan de sa démarche artistique, esthétique, est inépuisable. C’est une grande fécondité de couleurs, de formes et de lumières qui prend sa source dans la vie même, les expériences, les rêves et l’absolu. Par l’art pictural Charles Carson, frotté aux longs et arides hivers québécois, pèlerin sur cette Terre remplie d’embûches, embellit l’univers, le sien, le nôtre.

Sa recherche constante est tout le contraire de l’immobilisme ou du confort artistique dans lequel certains artistes parfois se réfugient. Coups de pinceaux, spatules vivantes, couleurs sensorielles éclatantes; Charles Carson a dépassé avec un génie qui lui est propre, toutes les frontières de son imaginaire. Et maintient le cap.

La Presse de la MancheIl est devenu ainsi naturellement, sans l’avoir consciemment souhaité, le bâtisseur d’une fascinante écriture picturale. Un style personnel, unique, que des experts et historiens d’art n’ont pas hésiter à nommer : «Carsonisme».

Dans le mouvement carsonisme, les toiles de Charles Carson attirent indéniablement le regard. Mais attention, ce ne sont surtout pas les œuvres d’un seul regard. Toutes autant qu’elles sont, ces toiles méritent, un deuxième, un troisième… un énième regard. Approfondie de préférence.

Et là, on va de découverte en découverte. La première impression qui emmène le plus souvent le profane à voir dans toute cette peinture de l’abstraction et encore de l’abstraction s’évanouit peu à peu. La dématérialisation de la nature qui a servi de moyen d’expression à l’artiste recompose peu à peu le sujet.

Au milieu de toutes ces couleurs qui éclatent dans chaque tableau apparaît alors une multitude de sujets qui font la richesse et la force de l’œuvre. C’est pour le spectateur un nouvel vision qui se fait jour.

Ce style identifie une page d’écriture de l’artiste. Mais il n’est pas unique, ni figé dans le temps. Il faut analyser le cheminement de ses mosaïques lumineuses et fascinantes. De ses nombreuses autres œuvres qui explorent le fil tendu entre le figuratif et le non figuratif, offrant au spectateur un kaléidoscope d’émotions. Sa peinture actuelle est en pleine ébullition; séduisante et parfaitement moderne. Elle sait surtout toucher en plein cœur, par sa beauté vivifiante.

Charles Carson a connu la célébrité hors des frontières de son pays, avant d’être reconnu chez-lui à la hauteur de son immense talent. Le peintre a ravi des amateurs d’art sous toutes les latitudes et de cultures diverse, entre autres en Asie au États-Unis en Europe, en Amérique latine, en Colombie notamment, où sa contribution à l’art et sa ferveur en ont fait un véritable héros national.

«C’est pour lui le début d’une communion avec ce que l’historien d’art et fondateur du musée d’art moderne de Montréal Guy Robert a appelé le Carsonisme. Une nouvelle forme d’écriture picturale. Une écriture qui va chercher dans le dictionnaire de la nature son inspiration pour en faire une fête permanente du beau et de la couleur.

A force de recherche et de travail, après 30 ans devant ses chevalets, avec l’inspiration et l’obstination pour seuls témoins, Charles Carson a bâti une œuvre unique en son genre. Une œuvre forte et belle.

Avec un style ô combien maîtrisé qui n’appartient qu’à l’artiste. Pour aboutir à une peinture différente. Une peinture éclatante de force et de luminosité.

L’oeuvre d’un génie qu’il ne faut pas avoir peur d’installer dans le cercle très fermé des grands, très grands artistes, qui marquent de manière indélébile leur passage dans le monde de l’art et des arts.

Quelle que soit la technique, quel que soit le sujet, l’imaginaire de Charles Carson donne à chaque fois une œuvre majeure.»

Source: (La Presse, France)
Premier quotidien de la France libérée

L’art de CARSON est duel …

Mme Anne Marie Laurès, Présidente du Salon des Arts France, Paris

Mme Anne Marie Laurès, Présidente du Salon des Arts France, Paris

Charles Carson en Compagnie de Mme Anne Marie Laurès présidente du Salon des arts de Paris en 2007

Charles Carson en Compagnie de Mme Anne Marie Laurès présidente du Salon des arts de Paris en 2007

 

PARIS 2007 (AEAF)
Salon de l’Académie Européenne des arts France.

Charles CARSON, médaille d’or, au titre de Grand Maître académicien du Salon International de l’Académie Européenne des Arts France.

«L’art de Carson est duel: d’une part, il traduit son amour de la nature sublimée, évoquant l’embrasement d’un coucher de soleil ou des instants de la vie animale et végétale; d’autre part son propre paysage intérieur révélé de façon brillante dans ses oeuvres mosaïques.

Sa peinture est tonique, onirique, à travers des formes vivantes entrecroisent d’autres formes réelles ou inventées. Elle est aussi un entrelacs de couleurs baignant dans des superpositions habiles, des transparences subtiles, posées en touches obliques accentuant l’effet de mouvement et de scintillement lumineux.»

Mme Anne Marie Laurès, Présidente de (AEAF)

Hildebrado Mejia

Galeria Arte autopista -Hildebrando Mejia - Charles Carson Galerie d’art Arte Autopista, Médellin, Colombia Dr. Hildebrando Mejia, galeriste et expert en art C’est avec grand plaisir que j’aimerais informé la société que  la Galerie Arte Autopista est la plus ancienne Galerie d’art en fonction au pays.  Nous accomplissons notre 42 année d’existence. Situé dans la ville de Medellin, de la république de Colombie,  une des ville les plus industrialisé et culturel du pays. Dans l’histoire de la Galerie, nous avons  exposé toutes la crème des arts à l’échelle nationale et internationale. Dans ses 42 ans, tous les grand artistes de renom, ambassadeur et créateur du pays qui malheureusement décédé aujourd’hui on fait partie de notre organisation.

Charles Carson à la Galerie Arte Autopista, Medellin, Colombie

Charles Carson à la Galerie Arte Autopista, Medellin, Colombie

J’ai eu la grande opportunité, quand *Charles Carson vivais dans la ville de Carthagène, une personne ma parlé de lui, et j’ai eu la grande chance de l’invité à la Galerie, je n’avais à ce moment là pas beaucoup d’antécédent de lui, mais réellement  ce son confirmé toutes mes attentes que j’avais pour lui à la découverte de son oeuvre, j’ai donc organisé une exposition Solo, qui à eu un  succès extraordinaire, qui à provoqué un enthousiasme phénomène du carsonisme, qui encore aujourd’hui  est étudié par des experts analyste et  historiens de l’art. Parce que, l’œuvre de Charles Carson,  malgré qu’un la regarde pour la première fois, dans un premier plan, nous donne la sensation d’être une oeuvre abstraite, au fur et à mesure que l’on approfondie l’analyse de sa création, on y découvre plusieurs détailles d’une infinie délicatesses,  ce qui la rend après observation, totalement  figuratif. Ainsi sont devenue ses oeuvres de grande importance et de grande acceptation et d’appréciation, par les spécialistes, comme exemple ses fonds Marins. Quel est le secret de Charles Carson, c’est, pour  l’amour de sa passion et être d’un grand professionnalisme dans l’art, c’est aussi un créateur en constante recherche et évolution. Tout son bagage impressionnant de travail et d’expérimentation qu’il à créer au cours des années dans son atelier et son laboratoire. Son carsonisme prend une notoriété internationale et même mondial, et est reconnu par plusieurs experts en arts, entres autres une personne qui pour lui est très importante, Louis Bruens, qui est devenue presque son biographe personnel, c’est un écrivain en art, ou il à dédié dans plus de 5, 6 ou 10 livres d’art, dont-il fait illusion sur l’oeuvre de Carson ou l’on retrouve plusieurs chapitre sur le carsonisme.

Entrevue Télé à la Galerie Arte Autopiste,  Charles Carson

Entrevue Télé à la Galerie Arte Autopiste, Charles Carson

Alors si on me demande, sur les jeunes, les artistes qui font leur renommée et les faits saillants à l’échelle internationale, sans aucun doute Charles Carson est un de ceux là, c’est un homme encore jeune d’ou sa passion, son dévouement, son sérieux, son professionnalisme,  le font arrivé à un niveau des plus élevé dans la culture universel. Ses oeuvres  inclusivement,  son actuellement mise vente  par les plus grandes maisons de ventes aux enchères qui ce retrouve en Europe et en Amérique du Nord. Alors que dans l’histoire de la Galerie Arte Autopista, et pour raconté au héritier des héritier  Charles Carson  est un des grands artistes qui fait partie des plus importantes expositions du calendrier de Arte Autopista,  pour sa notoriété en Amérique du Sud et la République de Colombie, ce pays si merveilleux que l’on doit absolument découvrir. *À trente trois ans Charles Carson découvre l’Amérique Latine et demeure de longues périodes en Colombie. Il y produit des œuvres extraordinaires dont émane un parfum exotique gardant toujours sa sensibilité, sa profondeur, sa vivacité, ainsi que le dynamisme et la variété de composition qui caractérise ses œuvres. La superficie de ses toiles est couverte d’une grande quantité de peinture avec une palette très pure et contrastante. Il ne peut toutefois chasser les hivers de son enfance de ses tableaux, des nuées blanchâtres ou des interstices de toutes les formes viennent hanter sa peinture et leur donnent un effet tridimensionnel saisissant. Sa gestuelle émerge elle aussi et il peint tout en mouvement avec une grande maîtrise technique. Pendant une dizaine d’années l’artiste canadien a collaboré à la culture artistique des Beaux Arts de Carthagène en Colombie. Par reconnaissance, la Société aéroportuaire lui a rendu hommage ; une statue en bronze grandeur nature à son effigie occupe une place de choix dans la ville de Carthagène depuis 1997. L’artiste a aussi signé une murale monumentale, intitulée « El caballo de mar », qui orne le hall de l’aéroport principal de la ville de Cathagène ainsi qu’une murale de scène religieuse intitulée « Yo hice lo que tú querías » pour l’église Santo Domingo (monument classé patrimoine mondial)

 

« Considéré par la critique depuis les quinze dernières années comme un artiste à part dans la création de l’art contemporain au Québec. »

Florentina Lungu - Carson

Florentina Lungu, B.A, M.A.
historienne, critique d’art
chroniqueuse au mensuel,
¨Vie des Arts¨.

10 juin 2004

Étude de l’oeuvre de Charles Carson

Florentina Lungu, 

B.A, M.A. historienne, critique d’art
et chroniqueur au mensuel, – ¨Vie des Arts¨.

Inventeur de la nature

On a beau y revenir ; regarder attentivement la peinture de Carson : se laisser submerge dans une nature paradisiaque coiffée par des animaux marins, des oiseaux, des arbres, des rivières, des océans et de quelques apparitions humaines. Adepte de mélanges des couleurs pures qui se déploient sur la toile sous les nombreux coups de la spatule assises légèrement en diagonales, Charles Carson, figure montante du marché de l’art canadienne, est considéré par la critique depuis les quinze dernières années comme un artiste à part dans la création de l’art contemporain au Québec. À y croire lorsqu’on regarde son œuvre dans laquelle l’enchevêtrement chromatique dynamique engendre par l’entremise de son propre style des formes naturelles reconnaissables, des lignes et des espaces qui vont s’accoupler à un all-over transparent.

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Florentina Lungu, B.A, M.A. historienne, critique d’art et chroniqueur au mensuel, – ¨Vie des Arts¨

Originaire de Montréal et malgré le fait que l’artiste lance ses premières essayes créatifs à un très jeune âge, Charles Carson s’est d’abord fait connaître en Amérique du Sud, plus précisément en Colombie où il a vécu et travaillé pendant un long laps de temps. Deux murales monumentales intitulées -El caballo de mar – se trouvant dans le hall de l’aéroport principal de la ville et – Yo hice lo que tu querias – représentant une scène religieuse pour l’église Santo Domingo ont été dédiées par Carson à son pays d’adoption. En effet, son apport à la culture de Carthagène a été souligné en 1997 lorsque la Société Aéroportuaire a érigé une statue, grandeur nature en bronze à son effigie.

Avant de créer un nouveaux style pictural intitulé carsonisme qui s’inscrit dans la lignée des – isme des mouvements modernistes, Charles Carson a peint beaucoup à la manière des classiques cherchant dans certaines toiles à reproduire le jeu entre l’ombre et la lumière des grands maîtres comme Rembrandt ou plus proche de nous, Van Gogh et Cézanne. Bref, pendant quinze années de recherches, l’artiste s’est lancé dans presque tous les styles picturaux afin qu’il puisse trouver sa propre voie. Par ailleurs, il devient important de souligner avant de faire l’analyse de ses œuvres que Carson dans sa quête de trouver un style original et une manière de faire unique a suivi volontairement l’émergence des éclats chromatiques de l’environnement sud-américain.

Qu’est-ce que nous donne à voir dans les œuvres réalisées du peintre dans le style du carsonisme et comment doit-on les interpréter? Chargées d’une impressionnante symbolique assujettie aux effets chromatiques intenses, le côté répétitif des touches qui courent en surface confère aux toiles une dynamique vitale, voire existentielle qui s’alimente constamment à travers une iconographie puisée au noyau de la nature même. Une émouvante élégance des formes et couleurs s’agencent inlassablement dans l’espace bidimensionnel des canevas afin de créer des compositions aux allures poétiques intenses.

De plus, le fait que l’être humain soit rarement représenté dans ses œuvres s’explique par le recours de l’artiste aux éléments naturels dont la symbolique fonctionne par analogie subtile à l’homme. Dans la structure chargée des masses colorées intenses composées de rouge, jaune, bleu, blanc, noir, vert, orange, ocre, et violet, se détachent des jardins remplis des fleurs, des arbres, des oiseaux, des différents animaux qui réunis chantent l’hymne d’une nature enchanteresse. Mais, le motif le plus récurent de ses œuvres reste le poisson. Symbole Mythique et religieux, le poisson connote tout un univers dont le sens continue au-delà de ces toiles.

Hormis les peintures qui relèvent du carsonisme, on peut remarquer la présence d’un deuxième style pictural chez Carson : les mosaïques qui se définissent par une fragmentation multiple, voire presque en all-over de la forme et des surfaces qui rappellent en un certain sens les mosaïques d’un Riopelle dans sa meilleur période des années 1950 ou, plus loin encore, les œuvres d’un Seurat ou d’un Signac identifiées sous le nom du divisionnisme tel qu’on avait connu à la fin du XIX siècle. Or, il me semble évident de souligner qu’un certain recul s’impose lorsqu’on regarde ces mosaïques afin que notre œil puisse distinguer la forme d’un hibou ou d’un immense oiseau peint généralement de face au centre du tableau. On pourrait lire à travers la symbolique de ces oiseaux solitaires de nuit un genre d’autoportrait de l’artiste, car autant la solitude que la nuit représentent des éléments indispensable pour Carson dans l’acte de peindre.

Si les œuvres qui se rattachent au carsonisme se situent à cheval entre l’abstraction et la figuration préférant autant le grand que le petit format, les mosaïques accentuent davantage cet effet abstrait qui s’exprime à travers une multitude des touches colorées et divisées remplissant uniformément la surface de la toile. Elles constituent les dernières recherches picturales dans l’œuvre de Carson et peuvent être admirées à la Galerie Richelieu qui représente l’artiste.

En guise de conclusion, il devient impératif de citer ici l’historien de l’art Guy Robert, fondateur du Musée d’art contemporain de Montréal, qui affirmait ceci par rapport à l’œuvre de Charles Carson :

«Le langage pictural de Carson propose une sorte de jeu du regard, en l’attirant et l’intriguant par des formes ambiguës qui se prêtent à diverses interprétations suivant le hasard des associations et la vivacité de l’imagination.»

Source : Étude de l’oeuvre de Charles Carson, Florentina Lungu.

Quelle énergie créatrice! Arévik Vardanyan, Conseillère en art et Muséologue

Arévik Vardanyan, Conseillère en art et Muséologue
Née en Arménie en 1965.
Maîtrise en histoire à l’Université d’état pédagogique d’Erevan, Arménie 1989.
DESS (Diplôme d’étude supérieure spécialisée en muséologie), l’Université Laval, Québec.

Arévik Vardanyan, Conseillère en art et muséologue

10 Septembre 2003

Quelle énergie créatrice!

Par Arévik Vardanyan

Charles Carson, un artiste de renommée internationale, l’article qui suit, n’a pas pour but de faire une analyse détaillée de l’œuvre de l’artiste réputé;

Depuis plus de vingt ans, de multiples analyses, articles et livres ayant déjà été publiés sur le sujet. L’objet ici est de démontrer les éléments qui rendent, par le carsonisme, l’œuvre du peintre exceptionnelle, voir phénoménale soit : le style de peinture, la composition, le sujet, la palette, la texture, la lumière, le mouvement, etc.

Emotion florale 20 X 16 po. Technique carsonisme

Parmi trois approches picturales de l’artiste, l’œuvre de Charles Carson se distingue par un style bien particulier nommé par des historiens d’art contemporain : carsonisme. Il s’agit d’une écriture picturale tout à fait nouvelle et propre à l’artiste. Le terme carsonisme est ici utilisé pour désigner une école d’art ou encore un mouvement artistique. On retrouve ses disciples dans plusieurs pays. Carson dispose d’un langage profondément personnel ou carsonnel ce qui s’avère une source d’inspiration pour plus d’un.

Voyons les éléments qui définissent et distingue le carsonisme comme une forme artistique unique. Carson dispose d’un langage profondément personnel ou carsonnel si l’on veut.

Si la critique le considère comme « l’un des plus grands peintres abstraits contemporains du siècle », le carsonisme, style qui décrit le mieux l’artiste, se définit difficilement comme étant abstrait. Il se présente plutôt à la limite de l’abstraction et de la figuration ; il s’agit de bien regarder les toiles de Carson dans le but de les découvrir, les explorer, les contempler et voilà qu’apparaissent des images définies l’une après l’autre donnant place à un spectacle captivant.

Floraison marine 30 X 30 po. -Technique Carsonisme

Sa composition est spontanée et attrayante, dynamique et énergique. C’est l’inspiration du moment, la présence de la muse qui fait œuvrer la spatule. Le spectateur est devant le résultat de cette inspiration, il la découvre non pas sur le coup mais graduellement en l’observant davantage, sans avoir la difficulté toutefois de recevoir ce que l’artiste veut transmettre. Par la lecture accessible de ses œuvres, Carson parvient à communiquer avec un public plus vaste.

Sensible aux questions écologiques et environnementales, son sujet devient généralement la nature. C’est d’elle qu’il prend sa source d’inspiration, c’est elle qu’il capte dans ses diverses formes et perce la fantaisie de l’artiste, nous revenant transformée par la lumière de son imaginaire. Carson rend hommage à la Nature, la peignant avec toute la force et la richesse de sa palette, faisant émerger une lumière émouvante afin que cette célébration soit absolue. On contemple la vie enchantée dans ses fonds marins et on se laisse bercer par le chant des oiseaux paradisiaques dans ses forêts tropicales. C’est une ode à la Nature!
Les natures mortes carsoniennes changent le sens même du terme et deviennent vivantes grâce à leur texture unique, leurs couleurs vives et leur mouvement spectaculaire.

Eveil printanier-30 X 30 po. – Technique mosaïque

L’un des éléments les plus dominants, sinon l’élément le plus éloquent dans un tableau est la couleur ; c’est ce qui capte d’abord l’attention du spectateur. Dans ce sens, on doit rendre justice au talent indéniable de Charles Carson pour son sens exceptionnel de l’harmonie chromatique: son bleu fait rêver, son rouge surprend l’œil, son jaune illumine le cœur…
Carson travaille à l’acrylique, sa spatule offre une matière généreuse, son verni en finition ajoute un effet lustré à sa composition. Quant à la juxtaposition des couleurs chaudes et froides, présentées en ondulation rythmées, elle offre une impression rarissime de feu d’artifice au spectateur.

Quelle énergie créatrice!

Une chromatique harmonieuse et audacieuse à la fois, des jeux de transparences et de profondeurs, une composition dynamique et un sens de l’invention constamment renouvelé. Voilà la recette gagnante qui propulse l’artiste de succès en succès.

Arévik Vardanyan
Conseillère en art
Muséologue
Née en Arménie en 1965.
Maîtrise en histoire à l’Université d’état pédagogique d’Erevan, Arménie 1989.
DESS (Diplôme d’étude supérieure spécialisée en muséologie), l’Université Laval, Québec.

Charles Carson est considéré par la critique comme un des plus grands peintres contemporains actuel.

Lise Grondine est historienne d’art diplômée (Baccalauréat spécialisé en histoire de l’art et un Majeur en arts plastiques) de l’Université de Montréal. Plusieurs études à l’Université McGill dans le cadre de sa Maîtrise, et diplômée par l’académie française, des Arts des sciences et des lettres à Paris.

Lise Grondine est historienne d’art diplômée (Baccalauréat spécialisé en histoire de l’art et un Majeur en arts plastiques) de l’Université de Montréal. Plusieurs études à l’Université McGill dans le cadre de sa Maîtrise, et diplômée par l’académie française, des Arts des sciences et des lettres à Paris.

Salon International des Beaux-Arts de Montréal / 2002

(Saibam Automne 2002)

Charles Carson s’est vu décerné la Médaillé d’or du Salon international des Beaux-Arts de Montréal (automne 2002).

Cette artiste de réputation internationale c’est vu octroyer la plus haute distinction de ce Salon qui honore chaque année, deux artistes invités d’honneur, en reconnaissance de leur talent exceptionnel et pour marquer le couronnement de leur Œuvres !

53 pages     Salon des Beaux Arts de Montréal 2002

*Lise Grondine, présidente du Salon.

« Je pense, sans un doute, que Charles Carson sera un des plus grands peintres abstraits contemporains de ce siècle. »

« Maître Carson, votre apport dans le domaine des Arts, votre création de ce style magnifique, le «Carsonisme», votre très grande sensibilité artistique, la grande beauté de vos toiles, votre réussite et renommée vous placent au premier rang de «l’avant garde » sur la scène artistique canadienne et international et font de vous « l’artiste par excellence !! ». Je vous assure, Monsieur Carson, vous êtes éblouissant!

Quand on regarde un livre d’art et qu’on tombe sur vous, avouez que vous vous distinguez quelque chose de rare et que la barre est haute !! C’est Magnifique !

Je pense que tout le monde s’entend pour dire que les œuvres abstraites et semi-figuratives du mouvement carsonisme de Carson révèlent une parfaite maîtrise et qu’elles peuvent être considérées comme des pièces maîtresses en Art abstrait contemporain, au monde. Elles sont rafraîchissantes, puissamment exécutées et d’une rare expression.

Je pense aussi, sans un doute, que Charles Carson sera un des plus grands peintres abstraits contemporains de ce siècle. Cette affirmation est la plus grande marque de reconnaissance à un talent exceptionnel, un témoignage que je n’ai jamais rendu à personne à ce jour.»

*Lise Grondine est historienne d’art diplômée (Baccalauréat spécialisé en histoire de l’art et un Majeur en arts plastiques) de l’Université de Montréal. Plusieurs études à l’Université McGill dans le cadre de sa Maîtrise, et diplômée par l’académie française, des Arts des sciences et des lettres à Paris.

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