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Salon International d’art Contemporain – Paris
Une ville : Paris, un site : l’une des plus belles place du monde et la plus visitées : la Place Concorde, un lieu : le cercle le plus select de France. L’Automobile Club de France, vitrine de la place Concorde, entourée des plus beaux palaces. A ces éléments s’ajoute, Un ciblage d’amateurs d’arts : des invitations à une clientèle qu’aucune manifestation artistique n’a effectuée jusqu’alors. Des partenariats et invitations au plus haut niveau, palaces, membres de Clubs et autres réseaux, officiels, presses… Pour couronner l’évènement et lui en assurer une promotion inégalée en information presse et diffusion télévisuelle, un vernissage haut en couleurs, réservé aux invités, avec pour fond, une mise en scène de lumière de la place Concorde et de ses monuments. C’est grâce à l’un de nos membres J. P. Corrigou, que cet apport prestigieux et très médiatique est possible. Cet artiste s’est brillement illustré avec ses partenaires, en habillant de lumière la Tour Eiffel lors du passage à l’an 2000, ainsi que le parc et les grandes eaux du château de Versailles. (*) |
Un spectacle pour le tout Paris, tous les amateurs d’arts ne pourront et ne voudront manquer ce rendez-vous unique. Après votre exposition, les portes du Cercle de l’Automobile Club de France se refermeront au public pour ne laisser passer que ses membres. Une exposition prestigieuse, qualitative, limitée à 110 artistes. Pour ce rendez-vous, nous avons opté pour une exposition « musée ». Les œuvres seront disposées en ligne et en pourtour de salle, avec de larges reculs. Les œuvres seront accrochées sur cimaises et individuellement éclairées sur panneau blanc. Les vendredi et samedi, nous accueillerons les membres de l’Automobile Club et leurs invités qui pourront visiter l’exposition lors de leur déjeuner et dîner, représentant un apport de plusieurs centaines de personnes issues d’une grande clientèle. Vendredi : l’exposition sera ouverte au public dès 14 heures. Remise des trois Lauréats à 17 heures en présence de la presse. Samedi : Invitation des résidants des palaces. Ouverture au public de 10 h 30 jusqu’à 20 h 30. Nocturne à partir de 20 heures pour les membres des clubs dînant dans les salons Concorde. Dimanche : Ouverture au public de 10 heures à 18 h 30 pour finaliser les ventes restantes. |
PRESTIGE, Le magazine du Québec
PRESTIGE, Le magazine du Québec Octobre 2007 CULTURE Par Jean Frenette Journaliste aguerrie, travaillant à La Presse depuis 1968, Anne Richer a rencontré de nombreuses personnalités au cours de sa carrière. Par exemple, elle écrit chaque semaine le portrait de la Personnalité de la semaine de ce quotidien. Elle a également publié la biographie de deux hommes bien connus : Pierre Bourque, chez Stanké, et Jean-Claude Poitras, chez Sogides. En ce moment, elle rédige la biographie d’un peintre québécois reconnu internationalement, Charles Carson. Rencontre avec une rencontre… |
Voilà un an qu’Anne Richer travaille avec Charles Carson pour écrire sa biographie. Pourquoi lui ? « C’est une amie de longue date, Colette Richelieu, la propriétaire de la Galerie Richelieu à Montréal, qui m’a téléphoné pour me dire qu’il serait intéressant d’écrire une biographie sur un de ses peintres parce qu’il avait une vie assez rocambolesque, assez passionnante, se souvient Anne Richer. J’avais vu ses tableaux à la galerie et Colette m’avait dit que sa valeur était grande sur le plan monétaire. Surtout, elle trouvait intéressant de parler de l’homme à travers tout son processus de créativité des 30 dernières années. » Une semaine plus tard, elle rencontrait Charles Carson. Au début, ils ont parlé simplement, un peu pour s’apprivoiser, pour se connaître mutuellement. Puis, elle a découvert un homme qui en avait long à raconter. « Lorsque l’on écrit une biographie, on entre dans la vie intime des gens. C’est très intense. Charles est un artiste, alors c’est quelqu’un d’extrêmement sensible. C’est un écorché vif », raconte Anne Richer. Pourtant, ses toiles ne sont-elles pas joyeuses ? « Je crois que sa peinture est une manière de s’efforcer au bonheur. Pour lui c’est naturel sur le plan pictural et ça l’aide à garder l’équilibre. Il a fait ce choix sur le plan de sa peinture : avoir une peinture joyeuse. » |
D’ailleurs, sa peinture en enthousiasme plus d’un. « Je pense au restaurateur Champlain Charest, un connaisseur en art, grand ami de Jean-Paul Riopelle. Il vient de découvrir Charles et ça a été le coup de foudre ! Il en a acheté tout de suite », affirme Mme Richer Histoire d’un homme ou d’une œuvre ? |
Semble-t-il que tout est déjà dans sa tête, qu’il n’a pas de croquis et qu’il ne fait pas de dessins sur sa toile au préalable. « Par exemple, j’ai vu un tableau qu’il était en train de faire, avec un fond coloré. Il y avait du rouge, du jaune et du bleu, mais informe. Il s’est mis à vouloir donner une forme, alors il y est allé avec un pinceau. Puis là, il a fait des touches. Tout à coup, on voit apparaître quelque chose. Je ne sais pas comment il fait, c’est spécial. Tout à coup, il y a eu des fleurs, un bouquet est apparu ! C’est de la magie pure », s’étonne-t-elle toujours. Le carsonisme Anne Richer me raconte sa dernière visite chez lui. « Il était à peindre un fond marin d’environ 4 pieds par 12 pieds. C’est incroyable. On entre dedans puis on est dans l’eau ! Mais attention, ce n’est pas comme un fond marin de carte postale… On y trouve toujours de petits détails et c’est ce qui fait la richesse d’un travail de peintre. La bonne peinture, on y trouve toujours quelque chose de nouveau, puis on ressent toujours cette espèce d’émotion de l’origine. C’est quelque chose qui nous appartient, qui est personnel. » |
À peine âgé de 50 ans, Charles Carson a déjà obtenu bien des reconnaissances pour son travail. Entre autres, il a remporté des médailles d’or dans d’importantes manifestations artistiques : Salon International des Beaux-Arts de Montréal (2002), Musée des Beaux-Arts de Montréal ACADEMIA XXI – AIBAQ (2006) , Salon international de l’Académie des Arts France à Paris, en reconnaissance de son talent exceptionnel (2007), Italia – Premio – Alba (2007). On lui a même érigé une statue de bronze grandeur nature à Carthagène, en Colombie, où ce grand voyageur a vécu quelques années. Et aujourd’hui, enfin bientôt, paraîtra une biographie. « Je suis ravie de faire connaître davantage l’homme et son oeuvre. Je trouve ça extraordinaire de pouvoir entrer dans un univers comme celui-là, un univers de création. » Carson à voir… (On trouve de ses œuvres généralement dans les plus importantes galeries du Québec du Canada et à l’internationale.) Carson à lire ET à voir |
Arts actualités magazine, France
Arts Actualités magazine,France Alain Coudert, historien et expert en art. Charles Carson, de purs moments de couleur… Exposition, Mairie de Sées, Normandie, France. Inventeur d’une technique de peinture (le carsonisme) où la couleur pure se marie à des effets de matière destinés à emprisonner la lumière sur le tableau, le Canadien Charles Carson expose à la Mairie de Sées, en France, du 05 au 30 novembre 2007. Collectionné par l’ancien président des États-Unis Bill Clinton, statufié en Colombie en reconnaissance de son travail, sa peinture se démarque sans complexe de la contemporanéité ambiante. |
Chez lui, «tout fait peinture» : natures mortes, bouquets, paysages, poisson, fonds marins originaux, poissons coralliens, animaux, scènes de genre…peindre est d’abord magnifier ce qu’il ressent par des éclats de couleur. Charles Carson peint à l’inspiration et le spectateur en ressent l’ardeur, le souffle, surtout au contact de ses grands formats, jouant sur la frontière semi-figurative/non figurative, il cultive un imaginaire généreux. Son regard singulier sur le monde est haut en couleurs, un peu détaché du réel. Sa vision, bien que singulière, car elle nous offre l’indistinct, tend à l’universalité. Pour ses expositions, Charles Carson ne se contente pas de montrer les œuvres de son atelier. Il s’inspire et crée aussi sure place «Saisir l’atmosphère des lieux où j’expose m’est aussi indispensable que de peindre dans mon atelier de Montréal», dit-il. Alain Coudert |
Charles Carson Une oeuvre vivante…
Anne Richer, rencontre… Journaliste à la Presse depuis 1968.
Ces dernières années, elle a dressé le portrait de plus d’une centaine d’hommes et femmes, bâtisseurs et rassembleurs, leaders et héros de notre temps entre autres; Pierre Bourgault, Pierre Bourque, Edith Butler, Michel Courtemanche, Yvon Deschamps, Diane Dufresne, Charles Dutoit, Sylvie Fréchette, Agnès Grossman, Pierre Marc Johnson, Andrée Lachapelle, Phyllis Lambert, Roger D. Landry, Robert LaPalme, Joël Le Bigot, Daniel Lemire, Suzanne Lévesque, Doris Lussier, Simonne Monet-Chartrand, Lise Payette, Lorraine Pintal, Jean-Claude Poitras, Jacques Proulx, Andrée Ruffo, Marcel de la Sablonnière, Alain St-Germain, Richard Séguin, Michèle Thibodeau-DeGuire, Michel Tremblay, Mgr Jean-Claude Turcote, Gilles Vigneault, Charles Carson et plusieurs autres…
Charles Carson
Une oeuvre vivante
Pour laisser sa trace dans le monde, Charles Carson a choisi de peindre. Un choix absolu, irrépressible, qui le conduit depuis trente ans à explorer toutes les facettes de son univers intime, à la fois organique et spirituel.
Et à nous l’offrir en partage.
La révélation de son œuvre devient, pour celui qui est sensible à l’art, une découverte capitale.
Debout la première fois devant un tableau de Charles Carson, l’explorateur, le citadin, néophyte ou collectionneur, sont plongés subitement dans une explosion de couleurs et de gestes. Peu importent l’anecdote, le sujet, la trame, le plaisir d’une telle œuvre tient au fait que l’artiste y a laissé une grande part de lui-même. Si on doit juger la valeur d’un artiste par sa spontanéité, son originalité, son honnêteté, on ne peut que se réjouir de l’existence d’une telle signature, d’un tel don.
Un long périple
Jour après jour : «Je cherche, recherche, crée pour apporter quelque chose de nouveau», dit-il. Aucun carcan. Aucun à priori. Seule maîtresse : la passion. Peindre est à la fois un besoin vital et : «Beaucoup de travail! Car rien ne vient tout seul,» ajoute-t-il. Il travaille en atelier, préfère de loin laisser surgir naturellement ce qui va apparaître sur la toile vierge. Chez cet artiste les images emmagasinées, les souvenirs bons ou tristes, sont autant d’éclats qui s’impriment, vifs, sur le tableau en devenir.
La souffrance, les multiples épreuves de la vie constituent un bassin quasi inépuisable d’inspiration. Charles Carson n’a pas été épargné. Son art transcende la réalité et lui apporte, une fois le tableau terminé la joie certes, mais aussi la paix intérieure. «Peindre est un état d’âme», confie-t-il. Ce tableau, une fois terminé, sera nanti d’une grâce spéciale comme le souhaite l’artiste, celle de donner du bonheur aux gens.
Un jour il a failli perdre la vie en plongée sous-marine. Le tourbillon qui l’emportait ne lui a pas fait perdre son amour de l’eau. L’élément privilégié qu’il soit mer ou rivière doit couler, voire gronder. La débâcle appréhendée jaillira en larges traits de spatule, en gerbes bleues, en vagues successives, et constituera un thème pictural de fonds marins.
Créer : un appel
Les vitraux des églises «leur lumière, leur transparence», sont les premières sources d’inspiration, d’éblouissement. Plus tard les voyages autour du monde ouvriront d’autres voies, notamment en Amérique latine. La Colombie sera une source constante d’émerveillements.
Mais au-delà de cet esthétisme, il n’oublie pas l’Homme. «J’ai vu tellement de souffrances!» s’exclame-t-il. Pour comprendre il interpelle sa spiritualité. Sa peinture deviendra dès ses premières esquisses, un témoignage de cette foi. «Elle était dans mon cœur», dit-il en parlant de son œuvre. Elle l’est encore et toujours. Plus vibrante que jamais.
L’art, c’est de l’or…
Le journal de Montréal Vendredi 01 juin 2007 Par Martin Bisaillon L’art, c’est de l’or… Le marché canadien est en pleine ébullition Tout comme les marchés financiers, le marché de l’art connaît en ce moment une hausse vertigineuse au Canada : une affaire de 200 millions de dollars par an. «Le marché canadien est très actif. On vogue de record en record», analyse Paul Maréchal, professeur spécialisé dans le marché de l’art et conservateur d’une prestigieuse collection d’entreprise. «Mais il n’a pas encore atteint son sommet parce que les ventes les plus récentes sont toujours à la hausse», prévient-il. Croissance L’année 2006 a été particulièrement fertile pour le marché, qui a connu une hausse de 27% par rapport à 2005. D’après Anthony Westbridge, auteur du Canadian Art Sales Index, l’engouement actuel s’explique du fait que les oeuvres qui arrivent sur le marché sont «fraîches». Elles émanent essentiellement du Groupe des 7 (années 1920) ou de Riopelle (après la Deuxième Guerre mondiale). La disponibilité de ces oeuvres sur le marché canadien coïncide avec l’apparition de nouveaux riches. |
Des sommes records Le 20 novembre, des tableaux canadiens se sont envolés pour des sommes records à une vente aux enchères tenue sous l’égide de Ritchies/Sotherby’s, à Toronto. Les experts croyaient bien, lundi soir dernier, que ce record serait recouvré par le célèbre peintre québécois lors d’un encan de Ritchies/Sotherby’s tenu à Toronto. Une de ses toiles, La forêt ardente, évaluée entre 2,0 M$ et 2,5 M$, y était offerte. Elle n’a cependant pas trouvé preneur : l’enchère s’est arrêtée à 1,6 M$. Selon un analyste ayant assistée à l’encan, l’évaluation du tableau était trop élevée. INVESTISSEMENT La plupart des grandes compagnies québécoises possèdent une collection privée, par amour de l’art… et pour des raisons fiscales. Partenaires des musées Les entreprises possédant des collections ont un véritable impact sur le marché de l’art. «Nous voulons des œuvres marquantes pour encourager le marché et garder le patrimoine en vie», explique Jo-Ann Kane, conservatrice de la collection de la banque, qui compte 7 000 oeuvres. LES PLUS IMPORTANTES Power Corp. : Art historique qui s’arrête en 1965; des centaines d’oeuvres. LES MEILLEURS VENDEURS CANADIENS DE L’HISTOIRE Source : Canadian price auction index, 2006 1 – Lawren S. Harris 41 116 930 $ |
Caisse Desjardins – Magazine Appartenance – Volume 02 – numéro 02 – printemps 2007
Caisse Desjardins, du personnel de l’administration et des services publics. Magazine Appartenance Patricia Miotto – Photo : Maude Chauvin Pour le plaisir des yeux L’artiste Charles Carson, médaillé d’or de l’A.I.B.A.Q au Musée des beaux-arts de Montréal pour l’excellence de son œuvre. Pour le plaisir des Yeux, vous pourrez observer l’œuvre de l’artiste international Charles Carson à l’accueil du centre de services de Montréal de la Caisse Desjardins. Comme vous pourrez le constater, la toile »Reflet d’automne petite rivière du Nord » est pour son créateur une dynamisation de la surface afin de lui donner un état autre, dans lequel s’anime un univers suggestif puissamment métaphorique à notre centre de services de Montréal. |
Charles Carson APPARTENANCE «C’est comme appartenir à une grande famille. Quand je rentre à la caisse Desjardins, j’ai l’impression de rencontrer ma famille; les gens sont chaleureux et accueillants… on est reçu comme à la maison!» PROFIL ET PARCOURS Originaire de Montréal, Charles Carson a vécu dans des coins retirés de campagne durant plusieurs années. C’est sûrement là qu’il a pu développer ses talents de peintre avant se s’exiler en Amérique du Sud, où il à vécu pendant 10 ans. « J’avais envie de vivre et de connaître autre chose, dans le domaine de l’art, de la recherche, de la culture. J’adore la plongée, les fonds marins m’inspirent beaucoup!» déclare l’artiste. Et on les retrouve particulièrement sur certaines de ses toiles qui sont exposées à la Galerie d’art Richelieu, à Montréal. |
Comment la peinture est-elle venue dans sa vie? Comme tous les bambins, Charles Carson aimait gribouiller, mais sa technique, il l’a développée principalement sur le terrain. « Ça fait 30 ans que je peins, je voulais développer une technique, une forme de peinture différente, car je trouve que c’est trop banal de peindre ce qu’on voit. J’ai donc voulu dématérialiser les paysages avec des formes plus abstraites et figuratives. D’ailleurs, de nombreux historiens d’art ont fait des recherches sur ma technique et ont constaté que je suis le seul au monde à peindre de cette façon-là : le carsonisme est né!» explique-t-il. Toutefois, il nous révèle que sa technique a pris son élan ici au Québec, grâce aux paysages d’automne qui le fascinent. « Étant passionné de pêche, les reflets des rivières m’ont toujours intrigué, ainsi que les feuilles d’automne…» que l’on retrouve dans ses œuvres de technique mosaïque. À 50 ans, Charles Carson estime qu’il est une personne simple : « Je n’aime pas me casser la tête avec la vie. Au contraire j’aime suivre son courant, c’est la meilleure façon de prendre la vie!» RÉALISATIONS Sa technique particulière a fait naître des écoles de «carsonisme» partout dans le monde. En outre, Charles Carson est également fier d’être le futur invité d’honneur à l’Académie européenne des arts à Paris. Parmi ses nombreux clients provenant des quatre coins du monde, en 2003 la galerie qui le représente à Boston a vendu une de ses œuvres à nul autre que…Bill Clinton! Et tout récemment, un autre bonheur s’ajoute au tableau de ses réussites : la naissance d’un magnifique bambin, né de sa relation avec une charmante Cubaine. «JE N’AIME PAS ME CASSER LA TËTE AVEC LA VIE. RËVES Toujours à la conquête de l’inédit, avec cette soif d’apprendre et de comprendre, Charles Carson est aussi très attiré par l’archéologie : « Je suis fanatique de l’époque égyptienne. Tout ce que je vis, j’essaie de le transmettre par l’art.» |
Frédéric Bonet, analyse de l’oeuvre Carson 1997
Marchand d’art Européen
Analyse de l’oeuvre de Charles Carson 1997
Charles Carson artiste québécois dont les oeuvres très prometteuses survivront j’en suis certain à la génération suivante comme un style d’architecture qui a acquis une dignité pittoresque.
Le peintre nous entraîne dans une sorte d’art spatial, ses compositions chromatiques semblent danser par un souffle enneigé probablement inspiré de son pays natal.
Tout devient mouvement, rythme, cadence, qui naissent ainsi de toutes ses impulsions.
Une écriture picturale unique qui est le propre de l’artiste, ces formes sont délimités par les contrastes de couleurs pures qui se heurtent, s’éclairent et stimulent le mouvement. Une sorte de combat des couleurs puissamment exprimé.
Si son œuvre frappe si fort, c’est aussi parce qu’elle correspond à des notions qui révèle ou encore inconscientes qui hantent notre sensibilité. Créateur née, Carson fait entrer dans son aire picturale un facteur nouveau une forme d’écriture picturale unique, qui donne lieu a une nouvelle technique : Le «carsonisme»
Ce genre nouveau lui vaut d’hors et déjà une extraordinaire renommée. Voir et connaître l’art de Carson, c’est réapprendre à redécouvrir les nuances, l’intensité et la luminosité des couleurs, par sa dématérialisation des formes, il nous transmet une source émotionnelles qui nous fait vibré, Carson donne a voir dans toute la dignité de l’art.
Brome Country News, Wednesday, May 2, 2007, Page 3
Brome Country News Carsonisms in person Galerie Berick turns 5 Brome Country News correspondent Award-winning Canadian artist Charles Carson will be the honoured quest at Galerie Berick’s fifth anniversary celebration this weekend. ‘’This is a very important event for me and for Estrie’s art and culture,’’ said gallery owner France Gravel. ‘’Many of our permanent artists will be here as well to meet Charles Carson and the public, and to help us celebrate this important event.’’ Born in Montréal in 1957, Carson has devoted himself entirely to his art since 1983. He has participated in numerous international exhibitions – in the U.S., Europe, Asia, and South America, as well as living and painting for five years in Columbia while he collaborated with the major museum there. His abstract art attracted the attention of art historians and consultants for his unique techniques, which a number of reviews have termed ‘’ Carsonisms’’. Carson is considered a master of colour by many, creating multiple dimensional universes on canvas. Carson will be present on Saturday to discuss his art and show examples of his work. ‘’We are so proud. He has just won a Gold Medal in Paris for his art and we are very happy to have him here, ‘’said Gravel. Among many awards, Carson has also won a Gold Medal at Montreal’s International Salon of fine Arts. He is a member of the European Academy of Arts in France. Weekend to celebrate five years in the business. We are having a silent auction of one of our guest’s lithographs, paintings by 15 of our artists and six sculptures. We’ll have door prizes and discounts on all our art and furniture.’’ Galerie Berick showcases the handcrafted furniture of Bernard Lacasse in addition to featuring the works of local and Quebec artists, sculptors and jewelers. The gallery holds regular monthly exhibits in addition to its permanent displays. Charles Carson will be at Galerie Berick on Saturday, May 5 from 1 p.m. The celebrations and auction continue all weekend at Galerie Berick (172 Adamsville St.) in Bromont. |
La voix de l’est, samedi 28 avril 2007, page 54
La voix de l’est, Charles Carson, invité d’honneur à la Galerie d’art Berick 5 ième Anniversaire de l’ouverture officielle de la Galerie d’art Berick. les 5 et 6 mai de 13 h à 17 h Pour souligner cet évènement, un invité d’honneur sera parmi nous. Il s’agit de Charles Carson, artiste peintre de renommée internationale, médaillé d’or – Paris 2007. Plusieurs autres artistes seront aussi présents pour l’occasion. Un encan silencieux aura lieu pour les lithographies de C. Carson et les tableaux de C. Bouffard, L. Codère, É. D’Ostie, P. Gravel, L. Julien, M. Kramer, A. Laberge, L. Lévesque, L. Morin, S. Robinson, A. Rodier, M. Raymond, K. Vallée, artistes peintres. Également, sculptures de G. Ferragne, J. Laramée, J.M. Lemoy, J.M. Parent, G. Pierre, J.G. Richer, N. Deschêne. Seront aussi présents; M. Allard, A. Bergeron, T. Potvin. Galerie d’art Berick |
Univers des Arts, Europe
Univers des arts, Europe No.119, Mars 2007 L’académie Européenne des Arts-France Invité d’honneur L’Académie Européenne des arts France a pour objectif de présenter les diverses facettes de l’art de notre pays la France, mais aussi de l’Europe et du monde. L’AEAF s’est en effet donné pour mission de représenter les courants, souvent occultés, de la peinture actuelle, depuis l’hyperréalisme, le fantastique, le réalisme, le naïf, le symbolique, l’abstrait (qu’il soit géométrique, lyrique, gestuel)…et non pas seulement la peinture officielle dite ‘’contemporaine’’. |
Sa devise : qualité de l’exécution et originalité. L’Académie va, dès l’an prochain élargir son audience en proposant à ses membres, des expositions au Canada, en Allemagne et dans les pays de l’Europe de l’Est. Le Salon international 2007 a pour titre, ‘’l’Art dans sa diversité’’ et l’invité d’honneur sera, pour la première fois, un peintre canadien : Charles CARSON, très connu de l’autre côté de l’Atlantique, créateur d’une nouvelle manière de peindre. Il a l’art de déstructurer ses dessins avec une élégance surprenante. La pureté et la transparence des couleurs, leurs juxtapositions, s’unissent les unes aux autres portées et inspirées par le bonheur de jongler avec les formes, qu’il dématérialise remarquablement pour nous transporter dans un monde imaginaire et onirique. Notons aussi que parallèlement au Salon se déroule un Concours de poésie Libre et de Poésie Classique, Des visites guidées d’expositions et de musées son organisées périodiquement pour les membres de l’Académie ainsi que des Conférences mensuelles au café littéraire ‘’Le François Coppée’’, à Paris et des concerts. Chaque année, un bulletin de liaison d’une soixantaine de pages est envoyé à tous les membres de l’Académie : Il résume l’activité artistique des adhérents et celle de l’Association. Présidente de l’évènement, Anne-Marie LAURÉS |