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GALLERY FOCUS: INGLEWOOD FINE ARTS – MASTER CARSON

LIFESTYLER MAGAZINE

GALLERY FOCUS: INGLEWOOD FINE ARTS

Lifestyler magazine, Calgary

Lifestyler magazine, Calgary 

By Veronica Boodhan on December, 12 2011
– See more at: http://www.lifestylermag.com/culture/gallery-focus-inglewood-fine-arts#sthash.AgrdbKN3.dpuf

From the time he was just 14 years old, Charles Carson’s passion for visual art inspired him to connect with audiences on as deep a level as possible. Acknowledging that abstract art does not always appeal to everyone, he strove to make it more accessible.

“To me, artistic expression is so much more than a trite gesture or a red dot on a black background. An artist who has something to say must surpass and reinvent himself,” says Carson. “My profound desire is to bequeath a body of work that resonates with future generations.”

During his time as an emerging artist in his hometown of Montreal, his artistic heroes included Renaissance greats Leonardo de Vinci and Michelangelo, as well as the modern masters Turner and Matisse, all of whom Carson says “devoted their lives to the pursuit of excellence and whose art continues to move people generations after their passing. Their genius is a constant source of inspiration.”

However, it was after residing in South America for 10 years that Carson began developing his true inspiration for his groundbreaking art — the environment.

“Art should not only capture the beauty of the environment but instill a desire in others to preserve that beauty. I am very sensitive to ecological and environmental issues and for this reason, my subject matter is mostly derived from nature. Nature is the source of my inspiration and I strive to represent it in different forms transformed by the mind’s eye,” he explains. “Through my paintings, I try to create a space where the artist and viewer meet and lose themselves, a vehicle for communication, communion, a living work.”

Carson has had a highly influential role in the art world, creating Carsonism, a term coined in 1992 by art historians including Louis Bruens, co-founder of Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec (AIBAQ), for his expressive art technique that surpassed the traditional categories of impressionism, expressionism and surrealism. In 2007, he was inducted into the AIBAQas “Master of Fine Arts,” and has been the recipient of numerous prestigious awards including Artist of the Year at the Montreal Museum of Fine Arts Academia XXI Gala in 2009. His list of high-profile collectors includes Bill Clinton.

“I was determined to not offer my work for sale until I had achieved my goal of creating a new pictorial language without any direct resemblance to an existing style or technique,” he says in describing the creation of the Carsonism movement. “This gave rise to many years of disciplined research and experimentation to create and develop the pictorial language to which I have become identified and that is marked by its use of vivid colours, luminosity and spontaneity.”

Carson is featured in a permanent exhibition at Inglewood Fine Arts, where more than 40 of the artist’s works showcasing the Carsonism movement and mosaic movement can be viewed. Located in Calgary, the gallery focuses on spotlighting a select few artists in an effort to give visitors a more enjoyable visual experience.

Carson’s close friendship with Michel Arseneau, owner and director of Inglewood Fine Arts, began over 20 years ago when Arseneau was pursuing his professional career in Montréal.

“Michel purchased one of my paintings through my agent at the time while I was still living in South America. We met shortly thereafter during one of my trips to Montreal and kept in touch over the years, sharing our passion for art,” says Carson. “His recent relocation to Calgary provided an ideal occasion for him to become my representative there and introduce my work to the evolving art market of Western Canada.”
» inglewoodfinearts.com•
Photo Courtesy: Inglewood Fine Arts – See more at: http://www.lifestylermag.com/culture/gallery-focus-inglewood-fine-arts

Flèche Mag « Charles Carson ne cesse de cumuler les honneurs les plus prestigieux. »

Flèche Mag, Le Magazine des Laurentides.
Numéro 119 – septembre 2011

Charles Carson et le Carsonisme

Mireille Villeneuve

Charles Carson ne cesse de cumuler les honneurs les plus prestigieux. Consacré maître par l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec, figurant parmi les «Heroes of creativity» du magazine américain Fine Art qui lui consacre sa couverture 2009, honoré en Italie pour son talent et son implication humanitaire, il à été, en mars dernier, conseiller Artistique de DROUOT COTATION des Artistes Modernes et Contemporains à Paris. Ambassadeur des artistes canadiens, Maître Carson réside toujours dans les Laurentides, où il puise son inspiration à même nos paysages. Il vient aussi d’être nommé directeur artistique de la 5 e Farendole des arts visuels qui aura lieu en 2012 à Sainte- Marguerite-du-Lac-Masson .

Ses toiles éclates et le mouvement qui porte son nom sont célébrés dans le monde entier et il expose ses plus récentes oeuvres ce mois-ci à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Vous oeuvrez beaucoup pour la promotion de l’art. Est-ce difficile de concilier la création et la promotion?
Quand on a une passion pour quelque chose, on fait ce qu’on a à faire, et tout arrive par amour pour l’art. J’ai aussi une excellente équipe derrière moi qui m’aide énormément. Notamment, les directeurs et le personnel des galerie, Richelieu, Beauchamp, Brocard, du Vieux-Port, le Bistro à Champlain et Inglewood Fine art dans l’Ouest canadien. J’ai des agents formidables en Europe et en Amérique du Sud. Des graphistes imaginatifs élaborent mon site Web. J’adore créer et je déteste dépendre de quelqu’un pour que les choses se passent. Donc je prends les moyens pour faire ce qu’il y a à faire.

Vous sentez-vous au sommet de votre carrière?
La passion ne s’est pas assouvie, bien au contraire ! Actuellement, j’adore travailler les grands formats. C’est magique ! La Banque Laurentienne du Canada a acquis dernièrement une mosaïque de 4.5 X 10 pieds et je viens de terminer des œuvres de 8 par 12 pieds pour la collection du Golf le Griffon à Mirabel. Je prépare actuellement une série de 24 pièces muséales d’environ 6 par 6 pieds. Ma prochaine exposition au Bistro à Champlain, présentera plusieurs œuvres de grandes dimensions, dont un tryptique de 4 par 12 pieds, sur le thème des fonds marins.

(photo) La croisée des chemin, Laurentides Qc. une mosaïque de 4,5 X 10 pieds, acquise par la Collection de la Banque Laurentiennes du Canada.

Où puisez-vous votre inspiration?
Jeune, j’étais fasciné par les vitraux, par la lumière qui les traverse. En peinture, j’ai voulu aller chercher cette transparence et luminosité. J’ai toujours été inspiré par les couleurs d’ici, le feuillage en automne qui se mire dans l’eau d’un lac. La mosaïque reflète les mouvements de l’eau. Je m’inspire de fonds marins, des oiseaux et des fleurs..

«Charles Carson a creusé son sillon vers la postérité artistique, car aujourd’hui on dit un Carson, comme on dit c’est un Picasso, un Matisse, un Warhol, un Basquiat et tous les autres artistes immortels.» – Christian Sorriano, expert en art et président de Drouot Cotation à Paris.

Partout, on célèbre le Carsonisme, qualifié de nouveau mouvement dans l’art moderne. On dit aussi mouvement mosaïque. Est-ce la même chose?
Ce sont deux formes d’écriture picturale différentes, mais qui se rejoignent. Le Carsonisme, c’est la transparence des couleurs, le haut relief, les diagonales et les éclisses de blanc. La mosaïque suggère la fragmentation des couleurs et de la forme, chaque trait de spatule est décomposé en une multitude de traits, de couleurs. Le Carsonisme est une réaction sortie de mon imagination. Mes tableaux sont abstraits ou semi-figuratifs. Je laisse des pistes pour que le spectateur devine des images et se crée des rêves.

Charles Carson expose ses oeuvres récentes du 16 au 30 septembre au Bistro à Champlain (75, rue Masson, Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson).

Charles CARSON choisi conseiller artistique de Drouot Cotation à Paris

JOURNAL PAYS D’EN HAUT/LA VALLÉE,

 JOURNAL PAYS D'EN Parution: le jeudi 5 mai 2011 Journal LA VALLÉE,


JOURNAL PAYS D’EN Parution: le jeudi 5 mai 2011 Journal LA VALLÉE,

Parution: le jeudi 5 mai 2011
Ghislaine NÉRON

Charles CARSON choisi conseiller artistique de Drouot Cotation à Paris

Le peintre et sculpteur laurentien, Charles Carson, a été choisi comme Conseiller artiste de Drouot Cotation à Paris, des Artistes Modernes et Contemporain pour le Canada.

M. Carson est le premier Canadien à recevoir cet honneur.

L’accès au titre de Conseiller Artistique demande une bonne connaissance du milieu et de la discipline artistiques.

L’Académie a reconnu M. Carson pour sa démarche artistique, ses expositions, ses honneurs, prix et distinctions obtenues au cours de sa carrière, son rôle d’ambassadeur auprès de l’Académie ainsi que la publication de son autobiographie.

L’organisme Drouot Cotation a comme objectif de faire connaître les artistes professionnels Canadiens à l’étranger. «Il nous est impossible de connaître les artistes Canadiens qui méritent d’être diffusés» a écrit Christian SORRIANO, président et Expert de Drouot Cotation.

La mission confiée à M. Charles Carson est donc de développer une branche du savoir dans le domaine des arts visuels, un chaînon manquant entre le Canada et l’Europe.

Charles Carson reconnu à l’international.

Charles Carson est aujourd’hui reconnu au niveau international pour ses créations lumineuses aux couleurs éclatantes, qualifiées de «CARSONISME» par les historiens et experts en art. Ces derniers parlent de son évidente créativité, de la transparence et de la sonorité de ses juxtapositions de couleurs.

Ses oeuvres font parties de collections publiques et privées dans plusieurs pays.

Christian SORRIANO – Président de Drouot Cotation, PARIS – Expert en Art et en Antiquités – Expert en ventes publiques depuis 1979 – Expert et Assesseur à la Commission des Douanes depuis 1994 – Expert près de Tribunaux Administratifs – Expert à l’Union Internationale (1992) Chargé de Mission par le Gouvernement français Arrêté du 2 décembre 1992, afin de structurer « Les professions de l’Art et des Antiquités »

Des oeuvres de Dali, Riopelle, Carson et Pellan sur les murs de la Galerie St-André…

Journal LE SOLEIL- Parution – 30 avril 2011

Journal LE SOLEIL
Parution – 30 avril 2011
Salaberry -de-Valleyfield
Spect’art

Des oeuvres de Dali, Riopelle, Carson et Pellan sur les murs de la Galerie St-André…

«L’artiste montréalais Charles Carson agissait comme l’invité et président d’honneur de cette ouverture.»

Mario Pitre

Aménagé dans l’ancienne église presbytérienne, rue Dufferin, à la Galerie St-André a ouvert ses portes la semaine dernière et donne accès à des oeuvres de grands peintres reconnus à travers le monde.

Dali, Riopelle, Alfred Pellan, Charles Carson, Johanne Corno, Léo Ayotte, ces oeuvres font parties de la collection personnelle du propriétaire de la Galerie, André Vinet, qui a transformé l’ancienne église en une véritable oeuvre d’art en soi. «Depuis longtemps, je voue une passion pour les anciennes église et j’ai toujours eu le coup de foudre pour celle-ci. Je m’y étais intéressé il y a quelques années avant qu’elle ne soit transformée en centre d’escalade et quand elle est réapparue sur le marché, je suis revenu à la charge. Je réalise un vieux rêve» confiait M. Vinet, qui détient également la discothèque Le Saint.

L’immeuble patrimonial a nécessité plus de quatre mois de travaux afin de refaire tout l’intérieur dans le respect du patrimoine. Le second plancher a été transformé en boutique d’antiquité, incluant de nombreux meubles et objets d’art anciens, mais bien conservés. « Un projet comme celui-là se fait avec des amis et j’ai pu compter sur plusieurs de mes amis pour en arriver à ce résultat» souligne ce passionné d’art.
À noter entre autres, les vitraux des murs extérieurs de l’église transformés en un montage graphique par l’artiste Bernard Boyer, incluant des tableaux inspirés d’oeuvres de Boticelli et de Monet, assortis de photos anciennes de Montréal Cotton.

André Vinet soutient qu’il existe une clientèle dans la région pour ce type d’art. «Je crois qu’il existe des collectionneurs et des gens qui s’intéresse aux grands peintres. L’art représente une forme de placement beaucoup plus sûr que la bourse à mon avis. De plus, c’est déductible d’impôt, ça nous procure un plaisir visuel et des sujets de conversation».

L’artiste montréalais Charles Carson agissait comme l’invité et président d’honneur de cette ouverture, le 20 avril dernier. «C’est surtout pour les lieux que j’ai accepté l’invitation. Quand j’ai su que la Galerie avait été aménagée dans une ancienne église, je n’ai pas pu refuser», confiait-il.

Charles Carson, dont certaines oeuvres sont exposées à la Galerie St-André, est récipiendaire de nombreuses reconnaissances internationales dans le milieu des arts.

Il a été agréé récemment chez Drouot – Cotation des artistes modernes et contemporains de 1870 à nos jours, de Paris, et à reçu en 2009 une double reconnaissance en Italie pour son implication dans le monde de la peinture.

1864 ou 1925 ?

Une interrogation de nature historique subsiste autour de l’église presbytérienne, dont la Galerie St-André établit la date de construction en 1864. La plupart des sources consultées par le Soleil, dont la Fondation du patrimoine religieux du Québec, placent toutefois sa construction en 1925.

Dans le guide patrimonial Reflets campivallensiens publié à l’occasion du 125 ième anniversaire de la ville, on peut lire:

«Le 3 mars 1925, les églises presbytérienne, méthodiste et congrégationnistes se regroupent sous la dénomination commune d’église Unie. Un groupe de traditionnalistes presbytériens refusent alors de se joindre à l’Église Unie. Il font alors construire une église 1925 sur la rue Dufferin.»

(Photos Le Soleil M.P.)
André Vinet, propriétaire de la Galerie St-André, aménagée dans l’ancienne église presbytérienne de la rue Dufferin.

Les artistes Denis Poirier et Reynald Piché, ont pris part à l’inauguration, en compagnie du propriétaire André Vinet et du président d’honneur Charles Carson.

Charles Carson, a accepté d’agir à titre de président d’honneur.

Le propriétaire de la Galerie St-André, André Vinet (à gauche), a pu compter sur l’artiste peintre québécois de réputation internationale, Charles Carson, à titre de président d’honneur lors de l’inauguration officielle. (Photo: Pierre Langevin)

Le Journal Saint-François – 27 avril 2011

L’ancienne église presbytérienne convertie en galerie d’art.

Daniel Grenier

Culture > Expositions

L’ancienne église presbytérienne située sur la rue Dufferin à Salaberry-de-Valleyfield a été transformée en galerie d’art et antiquités.

À l’occasion de l’inauguration officielle de la Galerie St-André, l’artiste peintre québécois de réputation internationale, Charles Carson, a accepté d’agir à titre de président d’honneur.

Ce bâtiment historique datant de 1864 était à la recherche d’une nouvelle vocation après avoir hébergé un centre d’escalade au milieu des années 2000.

Depuis septembre dernier, le Campivallensien André Vinet a fait l’acquisition de cet immeuble qui aura bientôt 150 ans.

Les tableaux de plusieurs artistes peintres québécois se retrouvent à la Galerie St-André, de même que des peintures de certains artistes de renommée internationale.. (Photo: Pierre Langevin)

En l’espace de sept mois, l’intérieur de l’ancienne église a subi une profonde transformation et c’est mercredi dernier qu’a eu lieu l’ouverture officielle de la Galerie St-André, en présence de plusieurs amateurs d’œuvre d’art.

Des travaux majeurs ont permis d’ajouter deux étages alors qu’initialement, l’intérieur du bâtiment était à aire ouverte.

En mettant sur pied la Galerie St-André, André Vinet redonne vie à un immeuble qui fait partie du patrimoine historique de la ville de Salaberry-de-Valleyfield puisqu’il était érigé en face de l’ancienne usine de la Montreal Cotton.

«C’est un nouveau souffle pour ce bâtiment historique. Peu importe nos croyances religieuses, on ne peut qu’y voir une forme de renaissance pour cette ancienne église qui vient de se trouver une vocation de messager à travers les arts», souligne André Vinet.

Les artistes Denis Poirier et Reynald Piché étaient présents parmi les invités lors de l’inauguration officielle de la nouvelle galerie.- (Photo: Pierre Langevin)

Une passion

La nouvelle galerie présente des tableaux d’artistes peintres québécois de réputation internationale. Les gens peuvent y voir des œuvres de 1940 à aujourd’hui, de style réaliste ou impressionniste.

Parmi les principaux peintres du Québec qui sont représentés, on retrouve Léo Ayotte, John Little, Albert Rousseau, Johanne Corno, Normand Hudon, Bruno Côté, Francesco Lacurto et Horace Champagne et Charles Carson.

D’autres toiles d’artistes peintres bien connus figurent également sur les murs de la galerie, dont Jean-Paul Riopelle, Alfred Pellan, Salvador Dali, René Richard, Stanley M. Cosgrove, Narcisse Poirier, William Showell, Fleurimont Constantineau, Jean-Paul Lapointe, Robert Tatin, Vladimir Horik et autres.

«C’est avec joie et fierté que je veux faire découvrir la passion l’art et de l’antiquité. Quant on s’y adonne, ça devient un vice et une folie. L’art, c’est le meilleur investissement actuellement. C’est un plaisir pour les yeux de regarder un tableau. On voit la passion du créateur et la vie de l’artiste», révèle André Vinet.

Les gens ont été impressionnés par la qualité des œuvres présentées. – Photo: Pierre Langevin)

La galerie compte près d’une centaine d’œuvres, dont la valeur s’étend de quelques milliers de dollars à plus de 30 000 $.

À l’étage, la boutique d’antiquités comprend des meubles anciens québécois, américains et européens, de même que de nombreux objets d’art en bronze, marbre et en porcelaine.

Outre sa passion pour l’art, M. Vinet aime bien tout ce qui entoure les antiquités. Il a été propriétaire pendant douze ans d’une boutique d’antiquités à Valleyfield et à Rigaud.

«Je suis un passionné et je veux partager cette soif d’absolu qui m’aide à grandir», déclare André Vinet qui souhaite établir une bonne relation avec le Musée de société des Deux-Rives, localisé à deux pas de la galerie.

« Église Saint Pierre de Montmartre » – Charles Carson sa passion pour les vitraux d’églises

Président d’honneur

À l’occasion de l’inauguration officielle de la Galerie St-André, l’artiste peintre québécois de réputation internationale, Charles Carson, a accepté d’agir à titre de président d’honneur.

Ce dernier a participé à plusieurs expositions au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud où il a résidé pendant plus de dix ans.

Passionné par les vitraux et les couleurs, Carson est reconnu sur le plan international par plusieurs historiens et experts en art pour sa technique unique nommée le Carsonisme.

Tout au long de sa carrière, il a remporté plusieurs prix, récompenses et honneurs. Ses tableaux font partie de nombreuses collections publiques et privées.

L’artiste peintre a été impressionné par la nouvelle galerie d’art de son bon ami, André Vinet. «Elle est située dans une ancienne église et c’est cet aspect qui m’a beaucoup plu», exprime Charles Carson.

Une fois de plus, une Farandole réussie

PAYS D’EN HAUT /LAVALLÉE & LAURENTIDES – Le jeudi 26 août 2010

PAYS D’EN HAUT /LAVALLÉE & LAURENTIDES

Le jeudi 26 août 2010

Arts spectacles

Une fois de plus, une Farandole réussie…

Par : Isabelle HOULE

Le célèbre artiste multidisciplinaire Charles Carson et la présidente de la Farandole des arts Visuels de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, Lise Tremblay Thaychi sont fiers de voir qu’autant de gens se sont déplacés pour admirer les différentes oeuvres.

Le célèbre artiste multidisciplinaire Charles Carson et la présidente de la Farandole des arts Visuels de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, Lise Tremblay Thaychi sont fiers de voir qu’autant de gens se sont déplacés pour admirer les différentes oeuvres.

La Farandole des Arts Visuels de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson a attiré presqu’autant de visiteurs qu’il y a deux ans malgré la pluie. On évalue donc qu’il y aurait eu approximativement 4000 personnes. Un bilan très satisfaisant pour les organisateurs bénévoles.

«Ce fut une très belle réussite. Samedi, c’était plein partout, dans tous les pavillons! Les gens ont adoré!», s’est exprimée d’entrée de jeu, la présidente de l’évènement, Lise Tremblay Thaychi.
«C’est un évènement grandiose! On reçoit des artistes de Cuba, du Québec et de l’Ontario. On voit ici des artistes qui utilisent une variété de techniques extraordinaires!»
En effet, c’est la première année que La Farandole reçoit des artistes internationaux et qu’autant de sculpteurs travaillent devant public. Cette année, quatre des 15 sculpteurs invitées ont démontré leur talent aux adeptes d’art visuel.

Pierre Labrecque peignait devant public

Beau rayonnement

Un évènement d’une telle envergure à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson n’a pu faire autrement qu’engendrer des retombées économiques intéressantes.
«La Farandole fait rayonner Sainte-Marguerite bien au delà de nos frontières laurentiennes. Les visiteurs ont vraiment apprécié l’organisation et la diffusion de l’évènement dans les différents médias», a souligné la mairesse de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson., Linda Fortier.

Martine Gagnon a sculpté le visage de gilles Vigneault

Rappelons qu’un comité de Vision stratégique a élaboré un plan de développement à long terme, sondant les citoyens pour connaître leurs ambitions au sujet de leur ville.
En lien avec cette initiative, le conseil de Ville tâtera également le pouls des commerçants et restaurateurs locaux afin de savoir si La Farandole a vraiment fait une différence au niveau de leurs revenus. Une chose est certaine, les organisateurs de ce grand symposium visent à faire de la 5e édition, un rassemblement à grand déploiement.

L’art : un bon investissement ? – MSN Finance, 8 mars 2010 – Par Audrey Guiller,

Photo: AP

MSN Finance, 8 mars 2010

Par Audrey Guiller,

L’art : un bon investissement ?

Acheter une œuvre d’art peut être un excellent placement, surtout si l’on respecte ces cinq conseils de Louis Bruens, expert en art et auteur de Investir dans les œuvres d’art (Ed. La Palette).

Attention, les bonnes salles de vente aux enchères sont rares, prévient Louis Bruens.

En 1963, un tableau du peintre canadien Tom Thomson se vendait entre 800$ et 1400$. Récemment, une œuvre de l’artiste a été cédée pour 934 000 $. En 1960, on achetait une peinture de Marc-Aurèle Fortin pour 150 $ : elle en vaut actuellement 92 589$. « Aujourd’hui encore, on peut réaliser de telles opérations, assure Louis Bruens, expert-conseil en art. Car contrairement à d’autres placements, la valeur des œuvres d’art ne subit pas d’effet yoyo. » À condition de respecter certaines règles…

Miser sur la bonne galerie

On peut se procurer des œuvres dans deux endroits : les galeries d’art et les salles de vente. « Attention, les bonnes salles de vente aux enchères sont rares, prévient Louis Bruens. 80% des tableaux qui sont vendus en salles sont des fonds de caves de galeries. » Mieux vaut donc fréquenter les galeries, en évitant les « boutiques à tableaux. Collés les uns aux autres, les tableaux qui s’y trouvent viennent de Taïwan et n’ont aucune valeur marchande ».

Investir à long terme

La valeur d’une œuvre varie selon la réputation de son auteur, la période de création, l’offre et la demande. Ainsi, on admet souvent qu’un artiste décédé « vaut plus » qu’un vivant, pour la simple et bonne raison qu’il ne peint plus et que ses œuvres se raréfient. « C’est pourquoi on n’investit jamais dans une œuvre d’art à court terme. Il convient de faire attention à l’âge de l’artiste. On peut aussi faire des graphiques sur l’évolution du prix de ses œuvres. Si la courbe monte de son vivant, cela s’accentuera après sa mort, explique Louis Bruens. » Des sites Internet comme Artprice, Artnet, Akoun ou les guides Mayer ou Benezit recensent les cotes des artistes, c’est-à-dire les prix auxquels leurs œuvres s’échangent dans les salles de vente aux enchères.

Penser « qualité » plus que « célébrité »

Cependant, « trop de gens achètent un tableau pour un nom, plutôt que pour sa qualité », déplore l’expert. « Or, les critères techniques interviennent de manière prépondérante dans la valeur d’une œuvre. Car il n’y a pas un seul artiste qui n’ait peint que des œuvres de qualité. » Comment juger la qualité d’œuvre ? Dans son ouvrage, Louis Bruens parle des vingt critères pour évaluer un tableau. Les principaux : son graphisme, sa composition, sa couleur, sa créativité et son exécution générale.

Savoir s’entourer

Il faut se rendre à l’évidence : pour bien acheter, une petite culture artistique s’impose. Et pour le néophyte ? Il peut toujours s’offrir les conseils d’un expert, en comptant 120 $ de l’heure. « Un expert connait les peintres et surtout les professionnels du milieu. Il peut négocier un prix d’œuvre et ne se laissera pas abuser par un galeriste, dont le métier est de vendre ! » estime Louis Bruens.

Exiger un certificat

La valeur d’une œuvre tient à son unicité. « C’est pourquoi il est fondamental d’exiger un certificat d’authenticité et d’originalité d’une œuvre que l’on achète. Il doit comporter une photo de l’œuvre imprimée, ainsi que tous ses détails », conseille l’expert.

Provenance: http://finances.ca.msn.com/finances-personnelles/article.aspx?cp-documentid=23599842

Fine Art Magazine – Fall 2009 – USA

Fine Art Magazine – Fall 2009 – USA – PAGE 5

Fine Art Magazine – Fall 2009 – USA

Carson, page, 5,6,7

Charles Carson at The Montreal Museum of Fine Arts — Gala ACADEMIA XXI — where he was honored as Artist of the Year “Charles Carson shows each and every unique feature of his great poetic skills, offering in his work a breath of life, his own life. Proof that Carson has worked his way toward artistic posterity came on the day that we started saying ‘It’s a Carson’ in the same way that we proclaim ‘It’s a Picasso, a Matisse,a Warhol,a Basquiat’or any other immortal artist.’’

—Christian Sorriano, Fine Art and Antiquities expert.
President of Drouot Cotation, Paris

This is “Carsonism…”

By VICTOR FORBES

Riding the bone-chilling north wind into New York City on his 2009 world tour, Charles
Carson motored down the New York State Thruway from his home in the province of Quebec, Canada, roaring in like a March lion with a truckload of paintings to display in the glass cathedral known as the Jacob Javits Convention Center. Here, for the past 20 years New York’s largest art fair has been a late winter tradition. All told, many thousands have introduced their work to the American art buying public at Artexpo. Few alive, however, can boast of an art movement christened with their surname, as in Carsonism—a fascinating pictorial language of painterly writing imbued with magnificent colors and patterns; an active meditation of original ideas.

The Spring Edition of Fine Art, featured Heroes of Creativity, Mr. Carson on the cover with a clever headline, “Carson to the ism.” Several Art historians around the world and museologist have deemed his style Carsonism,and his intricate and highly original works are as punctual and directed as the artist himself. These are strong paintings in two distinct yet related styles. The dimensional mosaic paintings with a build up of the paint and then glazed combine logically and intricately to give the appearance of a polished sea of possibility, glimmering mirror-like in a bath of pristine luminosity.

Charles Carson at Art Expo, New York 2009

Christian Sorriano, Fine Art and Antiquities expert from Paris and President of Drouot Cotation, “Art holds no more secrets or mysteries for a matured expert like myself. … Far from common trends and cheap visual effects, Charles Carson shows each and every unique feature of his great poetic skills, offering in his work a breath of life, his own life, therefore questioning and delighting the minds and the trained eyes of the connoisseurs who hang it on the walls of their daily lives.”

Over many years, said Fine Art publisher Jamie Ellin Forbes, “We’ve had the privilege of meeting so many artists. Some have risen to great acclaim and importance while others have fallen to the wayside. Each brings his or her own need to communicate their own dreamscape to the viewer and if you talk about this either in print or in person, you never know who you are going to be inspiring, what window you are going to open in their souls to communicate to the next level. The artist does this and such work is very important in all cultures. During this period of time, when people redefine values, they will find it much more so. Artists will become more important than they have been in the last ten or fifteen years outside of certain collectible concerns. Charles Carson’s paintings have a unique language. They are dreamscapes that invite you into the space, which makes you a part of the process of whatever the moment is that the artist is describing. It’s not a snap shot. You are invited into the imagination of the process and somewhere there’s been an instigation or an inspiration involving the colors, the mystique. The line is defined through the paintings with the application of the form married through the colors defining the lines. The painting itself—the composition—therefore becomes very free, very available for people to enter into.”

Fine Art Magazine – Fall 2009 – USA – PAGE 7

“Because the colors are incredibly clean, there’s a tempo. You can’t just paint and you can’t extra-polate unless you know form; you have to know form, you have to be able to paint in order to extrapolate. Carson applies the paint with a tempo and a sense of color as if the light were coming through. The pieces are very energetic, almost kinetic—and there’s a definite form lent through the application of the color. I don’t know what Mr. Carson has in his mentality as he paints, but it looks to me as if he’s painting the subconscious vision of what he sees; that he steps into the space between space, the dream space—and starts to paint the colors as they vibrate, as one form transitions from dream to reality and reality to dream and the abstract in-between. The colors are incredibly clean, which is rare—and they are built, have definition and are textural. You would think that it’s simple, but it is not. This is a very complex and difficult mode of expression to arrive at and you have to have an understanding of harmony and tempo to have a significant balance throughout the piece in order to create the composition. The result is the school of thought Carson is forming—Carsonism, Carson to the ism.” There are elements to this work that I have not seen elsewhere. I have not seen this technique done elsewhere. Have you?

“Isn’t this the founding of a thought process or a school? Did anybody do Braque or Leger, or Pollock before they did themselves?”

L’univers flamboyant de Charles Carson

FLÈCHEMAG – Le magazine des Laurentides – Juin 2009 – No: 99 – Page 48

FLÈCHEMAG
Le magazine des Laurentides
Juin 2009 – No: 99

Chasse galerie

L’univers flamboyant de Charles Carson

Auréolé d’une renommée internationale, l’artiste maintenant établi à Prévost a été honoré le mois dernier à l’occasion du gala Academia XXI, qui s’est déroulé au Musée des beaux-arts de Montréal et où il a été sacré Artiste de l’année 2009.

Par Maxime Florent

Plusieurs facteurs ont convergé pour inciter l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec à honorer l’artiste-peintre Charles Carson, originaire de Montréal : l’excellence de sa démarche artistique, ses expositions couronnées de succès et les nombreux honneurs et distinctions qu’il a accumulés à travers le monde ces dernières années.

De plus, la biographie richement documentée qu’a signée Anne Richer en 2008, publiée au Canada et en Europe, témoigne de la sagacité de ce créateur qui a su mettre au point une technique chromatique devenue sa marque de commerce, et qui, judicieusement, a pris le nom de «carsonisme».

Car les œuvres de Charles Carson subjuguent rapidement l’œil qui les perçoit. Le souffle de vie qui les anime est vibrant, grâce à une approche picturale et un usage créatif de la spatule, qui procurent une impressionnante profondeur à ses tableaux. Ces derniers ne cessent d’étonner par leur cavalcade de couleurs et la mystérieuse juxtaposition des textures et des tons contrastés.

Généralement exécutées à l’acrylique, ses toiles vagabondent entre la figuration et l’abstraction, avec ses faisceaux de taches vivement colorées rappelant la période mosaïque 1950-60 de Jean-Paul Riopelle, mais avec une densité et un foisonnement de couleurs qui le démarquent de son prédécesseur. Il y a quelques années, le critique d’art Robert Bernier décrivait ainsi le travail de Carson : «On dirait un flot incessant de particules qui balaient la matière avec une régularité fascinante, voire déconcertante».

Pour voir les œuvres de Charles Carson

On découvrira en profondeur l’univers de l’artiste en visitant son site Internet (www.charlescarson.com). Ses œuvres sont aussi exposées en permanence dans différentes galeries en France, en Allemagne, en Colombie, aux Etats-Unis, et au Canada. Dans les Laurentides, on peut les apprécier dans les endroits suivants :

Galerie d’art Brocard, 2691, boul. du Curé Labelle, Prévost, tél: 450-224-4294 et au
Bistro à Champlain, 75, Chemin Masson, Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, tél : 450-228-4988

Charles Carson récompensé… Artiste de l’année 2009 – Gala Academia XXI au Musée des beaux-arts de Montréal.

Journal Échos de Montréal – Juin 2009 – Vol. 16 No: 6

Journal Échos de Montréal
Juin 2009 – Vol. 16 No: 6

Artiste de l’année 2009 – Gala Academia XXI

Charles Carson récompensé…

L’Académie internationale des Beaux-Arts du Québec a intronisé, le 6 mai dernier au Musée des beaux-arts de Montréal, lors du Gala Academia XXI, le peintre de renommée internationale Charles Carson à titre d’artiste de l’année 2009.

Impliqué depuis plus de 30 ans dans le domaine de la culture et des arts visuels, Maître Charles Carson a laissé une trace telle en arts visuels que l’on parle désormais de «carsonisme» pour qualifier toute une école de peinture qui s’est bâtie sur l’héritage de son œuvre à la fois unique et inspirante.

Guy Robert, historien, éditeur et fondateur du Musée d’art contemporain de Montréal, définissait déjà ainsi le style du «carsonisme» : «fraîcheur et vivacité de la palette, dynamisme et variété des compositions, rythme qui anime chaque segment des œuvres, un peu comme dans le meilleur jazz où le sens de l’improvisation dilate merveilleusement la structure instinctive de la mélodie et l’anime de sa syntaxe syncopée…».

Charles Carson a fait d’ailleurs la page couverture du magazine Fine-Arts, qui titrait, dans son numéro du printemps 2009 : «Carson to the ism».

Né à Montréal en 1957, Charles Carson a été appelé par une vocation pressante dès l’adolescence. Il a voyagé en Europe, en Asie, aux États-Unis, en Égypte et en Amérique du Sud afin de forger sa vision, nourrie à la fois par la mer, les forêts sauvages de l’amazone et ses idéaux personnels.

On peut visiter le site de Charles Carson au www.charlescarson.com